Titre : Un rêve infini...
Genre : ça tire plus vers l'horreur
Nombres de chapitres : Aucun
Fini ou pas ? : Contrairement à se que vous pourrez croire, elle est fini (:
Je me trouvais dans une forêt. Il faisait nuit et froid. L'humiditié de l'air me pesais sur les épaules. Même après tant d'années, je sens encore l'angoisse m'étreindre. Le vent me fouaitait le visage, je ne sentais plus mes mains. Mes longs cheveux noirs flotaient derrière mon dos. La lueur de la lune éclairait à peinne le sol qui était recouvert de neige. Il y avait deux heure que je marchais péniblement, lutant contre le froid. Soudain, une ombre apparut, elle était grande, et se rapprochait de moi. Je me retrouvais face à elle, j'étais térrifiée à l'idée de l'horrible chose qui se cachait derrière. L'aube étais encore loin, j'étais déstinée à rester dans ce bois. Quelque chose siffla comme une flèche transpèrçant l'air. Je me retournis, et vis dans l'arbre se trouvant juste derrière moi, un couteau planté. L'ombre noire ne s'arrêtait pas, elle marchait en ma direction. Je n'arrivais pas à bouger, je voulais courir le plus loin possible, mais mes jambes restaient clouées. Ma respiration se fesait de plus en plus sacadée, mes mains devinrent moites. Je pleurais, mes larmes perlaient sur mon visage meurtrit par le vent. J'essayais de crier, mais aucun son ne sortit de ma bouche... Tout à coup, je me reveilla en sursaut. Je repris ma respiration, essuya mes larmes, et me leva de mon lit. Je suais. Je me dirigea vers la salle de bain, jeta un bref coup d'oeil dans le miroir, et me fis remarquer que je n'avais pas une bonne tête. Je retira mon pyjama, et passa sous la douche. Une fois propre et lavé, je regarda l'heure. Celle ci affichait 13h20. J'écarquillais les yeux. J'avais pris rendrez-vous à 13h30 chez mon psycatre. J'attrapais mon sac à main, enfila une paire de chaussure et franchis la porte sans oublier de la refermer, on est jamais trop prudent. Les rues étaient bondée de monde, toute la ville étais décorée de guirlande et autre. Les jours de fête approchaient, et les gens étaient suréxités. Sans oublier l'heure, j'accéléra le pas. Je rentra dans la salle d'attente, m'assise, et pris un magazine, le premier qui me tomba sous la main. La secrétaire m'appella « Maya Fisher » Je me leva, réajusta ma veste noire, et pénétra dans la salle du Docteur Strogoff. Je me rappelle exactement de sa procédure, toujours la même. Suite à ma séance, il me préscrit des calmant pour que je puisse dormir tranquille. J'avais commencer à être perturbée dans mon sommeil depuis six jours je croit. Ce qui était étrange, c'est le fait que je faisais toujours les mêmes rêves. Au bout d'un certain temps, je fus légèrement habituée. Avant cela, j'étais insomniaque. Et peut de temsp après, je commença à faire ces cauchemars. Chaques nuits, chaques fin de journée, j'avais l'estomac qui se nouait, l'angoisse me prenais. Je ne voulais pas dormir sous peinne de refaire toujours le même rêve atrosse. Pour en revenir à ma séance de psyco. , je sortis de la salle, et alla acheter mes médicaments à la pharmacie. Une fois fait, je me promena dans la ville. Je rentra dans mon petit appartement, il devait être 19 heures. Je me prépara à manger, et m'installa devant la télévision. Quelques heures défilèrent, et mes paupières se fermèrent. Je m'endormis... Je me trouvais de nouveau dans cette même forêt, avec les même arbres, la même lueur de lune, la même neige. Le vent soufflait toujours aussi fort. Cette fois ci, je ne pris pas la même direction que l'autre fois, je passa derrière un buisson à ma gauche, et non pas à ma droite. J'arrivais devant une maison en bois. Elle semblait abandonnée. Mon coeur battait plus vite. Je serra la poignée de la porte, la tourna, et poussa. Un bruit sourd parvint à mes oreilles. Je tourna brusquement la tête pour pouvoir observer les allentours. Je m'attendais à revoir cette ombre menaçante, mais rien. J'entra alors dans cette vieille maison. Chacuns de mes pas faisaient grincer le parquet pourrit. Les carreaux des vitres étaient cassés, le vent s'y infiltrait. Je cria « Hé Oh ?! » Mais personne ne répondit. Je crelottais. Tout à coup, la porte d'entrée se referma bruyament. Je sursota. Une personne à forte carrure se tenait devant moi. Je recula éffrayé, mais le mur qui se trouvait derrière moi me stopa. J'étais prise au piège. Il s'avançait, brandissant un coûteau sur moi... Je me trouvais une énième fois dans cette forêt, le même décor, le même vent, les même chemins. J'étais déstinée à vivre cet enfer à répétition. Mais, pourquoi je ne me reveillais pas ?! Je courrais, mais je revenais toujours au point de départ. A quoi bon continuer. Complètement déséspéré, je m'assise près du buisson qui m'étais maintenant famillier, croisa les jambes, en attendant la mort. Où que j'aye, je périrais...