S'amuser... oublier... impossible... [PV: William] (terminé)

Léna n’avait réellement pas comprit le petit jeu qui c’était fait à la bibliothèque et il fallait la comprendre. Elle ne connaissait pas cette fille et en plus, elle ne connaissait pas l’université. Elle n’était jamais aller à l’école ou plutôt, c’était l’école à la maison. Enfin bref, se recouvrant, elle était partie sous le soleil, courant pour ne pas trop y rester. Elle entra dans son petit lieu à elle et attendit le soir en s’allongeant sur le matelas. Le fameux matelas qui la fit sourire et souffrir en repensant à ce matin. Elle préféra fermer les yeux et s’endormir en plein jour.

Lorsque la nuit arriva, Léna resta allongée au début. Elle ne voulait pas trop sortir de peur de rencontrer William mais réfléchissant, elle se leva. Elle n’allait pas gâcher une nuit à cause de lui et puis demain, c’était la pleine lune. Regardant dans ses tenues, elle désirait être envier et surtout regardé ce soir. Ce n’était pas dabs ses habitudes mais si elle devait croiser William, elle voulait le dégoûter ou bien lui montrer ce qu’il avait loupé. En réalité, elle voulait surtout qu’il puisse avoir mal comme elle lorsqu’elle avait cru à cette mis en scène. Enfin bref, c’était sur, elle allait en mettre plein la vue. Enfin vêtu pour ce soir, elle sortit de sa petite cage et regarda la lune.

Spoiler:

Marchant dans les ruelles, les garçons craquaient à son passage, elle était même peut-être aller trop loin. Arrivant dans la boîte, elle fit la bise au videur qu’elle connaissait et pénétra dans l’ambiance de la soirée. Directement elle se dirigea vers la piste de danse, commençant à se déhancher telle une tigresse. Elle avait une ondulation digne d’une déesse prenant la courbe d’un serpent. Les hommes la regardèrent venant se coller à elle pour danser. Fixant l’entrer, elle vit alors William, ne pouvant s’empêcher d’avoir ce regard de tristesse en le voyant. Baissant la tête, comme la fois de leur premier baiser, elle disparut dans la foule tout en essayant de danser.

Après cette journée épuisante, je décida d'aller au bar du coin, en étant sur de ne pas y trouver Léna. J'éspérais aussi de tout coeur ne pas y croiser Chessalia, Logan et tous les autres. J'avais juste envie d'oublier cette journée. Je doit avouer que ce n'était pas la première fois que ça m'arrivais. Mais je mis prend differement selon les personnalitées. Je ne m'attachais à personne quand c'était de l'amour, ou tout autres sentiments sauf l'amitié. Je n'étais pas ce que je prétendais être. Toute ma vie n'était que comédie organisée... Personne ne me connaîssait vraiment. Chacune de mes expressions n'étaient que ce que j'avais envie qu'elles soient ou ne soient pas.

J'entra donc dans ce bar, ce seul bar de toute l'île. Je m'assis directement au comptoir, et commenda une bière. Je me tournais, et regardais le monde dancer sur la piste de dance. Je crus appercevoir Léna. Puis, secouant la tête, je me disais que ce n'était que ma pure imaginon. Ma bière arriva, j'en pris quelques gorgées.

Continuant à danser, Léna remarqua que William ne l’avait pas vu. Elle décida de faire de même et se déhancha toujours avec une telle élégance. Observant le monde qu’il y avait, une musique des plus entraînante retentit. Léna remarqua une demoiselle se diriger vers William et eut un léger pincement. Elle ne savait pas si c’était le fait d’avoir coucher avec lui ou bien de l’apprécier qui faisait cela. Un tango de folie commença et comme le savait le DJ, Léna était une déesse dans cette danse. Elle faisait éprouver à toute la salle une émotion si forte qu’on pouvait en avoir très chaud. Si william faisait attention, il remarquerait que l’intensité aurait été aussi forte que la nuit qu’ils avaient passé ensemble. Prenant le fameux danseur pour cette nuit spécial en boîte, Léna lui fit un petit sourire et prit place. Ce n’était pas vraiment une coïncidence si elle était là.

http://fr.youtube.com/watch?v=DEwZIufmafo&translated=1

Prenant place au centre de la piste, le DJ lança la musique et un tango plus que ardant et surtout très sensuelle commença. Ce qui dérangea Léna était que cette fille s’approchait toujours autant de William, la déconcentrant légèrement. Le danseur regarda alors l’hybride dans les yeux, lui faisant comprendre qu’il fallait tout oublier. Mais impossible, elle regardait toujours par moment le jeune homme. Lorsque la musique prit fin, Léna regarda William une dernière fois mais ses yeux ne montrait que de la tristesse. Elle détestait ressentir cela, surtout envers lui car elle croyait avoir été trompée. S’installant au bar, de l’autre côté, pouvant toujours l’observer, elle commanda une boisson, limonade. Même un vampire pouvait boire autre que du sang.

Soudainement, la lumière ce tamisa, et du tango avait été mis comme musique. Beaucoup de monde s'écarta de la piste de dance, et seul une jeune fille et un homme commençaient une dance endiablée. Tandis qu'une fille s'approchait de moi, je me décala pour avoir toujours un oeil sur la danceuse. Je plissa un peu les yeux, et remarqua que c'était Léna. Je ne la regarda que discretement à chaque fois, tout en discutant avec la fille qui était venu me voir. La dance était finie. Léna s'assise de l'autre côté du bar. Je souriais. je demanda un stylo au barman, et inscivis sur la serviette ce trouvant juste devant moi " Jolie dance " Je demanda alors au serveur de l'apporter à la jeune fille aux cheveux long assis juste de l'autre côté. Puis je repris comme ci de rien était la conversation avec la blonde qui c'était assise juste à mon côté gauche.

Léna était au bar, le temps de se calmer car la danse était assez physique. Regardant William écrire un mot sur un papier, où plutôt une serviette, pour lui envoyer, Léna regarda dessus, affichant un sourire sur son visage. Elle était contente que cela lui ait plus et aurait adoré s’amuser avec lui ce soir mais cette histoire lui restait toujours en travers de la gorge. Demandant un stylo, elle décida de lui répondre un peu moins délicatement, « tu ne devrais pas trop me regarder sinon ta petite-amie risque de t’en vouloir. Sinon, qu’en est-il de celle de la bibliothèque, tu n’as pas rattrapé ton coup ? ». Regardant le serveur, elle lui glissa un petit billet, s’excusant de le prendre comme coursier. Le jeune homme lui fit un sourire et glissa son papier dans les mains de Léna avant d’amener le sien à William. Surprise, elle regarda le papier, « non seulement tu danse magnifiquement bien mais en plus, tu es vraiment très mignonne. Je finis à 3h alors, si ce jeune homme t’embête, dit-le moi ». Rigolant, Léna regarda William, ouvrant le papier pour lui montrer que le serveur la draguait. Elle voulait voir s’il serait jaloux.

Léna reçut le mot en souriant...
Elle fit de même que moi, et demanda un stylo, elle écrivit sur la même serviette que moi, mais en le donnant au serveur, celui ci lui refila en de ses mots. Elle l'ouvrit sous mes yeux, en me regardant.
Le serveur se rapprochait de moi, me donnant la réponse de Léna. Je le remercia. Aucune fille n'avait réagit comme ça avec moi. Quand je les lachaient, elles ne voulaient plus m'adresser la parole. Mais elle, elle jouait carément avec moi.
Je lus le mot, et lui répondit au dos " Tu rigoles, mais tu croit que le serveur veut plus que ce que je veut moi avec toi ? Et puis, la fille de la bibliothèque fesait partie du coup... Je t'embrasse "
Je rappela le même serveur pour pimenter notre petit jeu. celui ci lui apporta. Quand Léna me regarda, je fis signe à la jolie blonde de s'approcher, et je lui mordis l'oreille. Je me redressa, et bu le reste de ma bière, en commandant 2 smirnoffs. Je trinqua avec la blonde.

Léna remarqua le petit jeu de William mais c’était mal la connaître. Regardant son message, elle baissa la tête, comme si elle se retenait. Souriait, elle se souvenu de ce moment ou elle avait pleuré. Cela paraissait certainement stupide pour William qu’elle ait réagit ainsi et se mordant les lèvres, elle reprit le stylo. Que lui répondre, elle ne savait pas quoi faire, ce jeune homme commençait à l’énerver, surtout avec cette blonde. C’était décidée, elle n’allait pas chercher plus loin. Commençant à écrire, elle regarda le serveur : « Mais au moins avec lui je sais à quoi m’en tenir. Sinon, si ton coup était mis en place pour te débarrasser de moi, alors bravo, tu as réussi. Garde ton baiser pour cette fille, elle sait à quoi s’en tenir avec toi ». Sortant du bar, Léna se dirigea vers les toilettes, au moins, il ne pourrait la suivre. Se plaçant devant le miroir, elle se demanda alors si elle était vraiment faite pour les histoires qui dure. Peut-être qu’elle était juste là pour faire plaisir aux hommes et qu’elle ne se poserait jamais réellement. Ce geste qu’avait fait William l’avait assez troublé, ce n’était pas cette fille qu’elle voulait dans ses bras, c’était elle. Malheureusement, lui n’était pas de cet avis. Ressortant des toilettes, elle se demanda si elle ne ferait pas mieux de sortir et s’installa de nouveau au bar.

Léna lut le mot, et baissa la tête comme à son habitude.
Elle renvoya un mot, me disant qu'elle savait à quoi sens tenir avec le serveur, et que si c'était un coup pour ce débarasser de moi avec Chess, que c'était réussit...
Je passa une main dans mes cheveux, demana à la blondasse de m'attendre, et suivis Léna. Elle entra dans les toilettes des filles. Impossible pour moi d'entrer, pas besoin de faire un scandale aussi ici. J'attendis donc qu'elle sorte. Je la regarda, et m'approcha d'elle. Je la prise dans mes bras, et lui murmura.

- Si j'ai fait tout ça c'est parce que je suis incapable de le faire moi même, je suis idiots... Tu cherche quelque chose de sérieux, et moi non. C'était très bien la nuit dernière, mais je ne veut en aucun cas m'impliquer dans une histoire. Pour moi, ça a été des coups d'une nuit, c'est des coups d'une nuit, et ça restera des coups d'une nuit.

Je déposa mes lèvres sur sa joue, et me retira. Je m'adossa contre le mur. Je n'allais pas partir comme ça, je devais être responsable, et écouter ce qu'elle avait a me dire.

En sortant, elle vit William qui l’attrapa dans ses bras. Elle détestait cela car elle savait très bien ce qu’elle était pour lui. Ne voulant le regarder dans les yeux, elle préféra l’écouter sans rien dire en retour. De toute façon, qu’avait-il à dire, il ne pouvait pas comprendre ce qu’il venait de faire. Sentant ses lèvres se poser sur sa joue, Léna ferma les yeux, laissant involontairement une larme y perler. Passant sa main dessus pour lui cacher même si c’était visible, elle sortit de ses bras et le regarda.

- Bonne soirée avec ta nouvelle copine du soir…

Elle n’en pensait pas moins de son comportement. Pour lui elle était un coup d’un soir, rien d’autre et elle s’était bien fait avoir. Ne voulant gâcher sa soirée elle partit sur la piste mais un vertige lui prit. Il y avait un problème, quelque chose qui n’allait pas. Ne comprenant pas ce qui se passait, Léna essaya tout de même de sortir mais sa vue se troublait et tournait. Complètement sonné, un homme vint l’attraper avant qu’elle ne tombe. Marchant toujours sur ses jambes, le serveur du bar amena la demoiselle dans une autre pièce. A faire trop attention à William elle n’avait pas vu le serveur introduire une drogue dans son verre. Complètement sonné, elle ne savait plus où elle se trouvait, suivant inconsciemment le serveur qui l’amenait dans la réserve.

Je poussa un long soupir. J'avais réussit à la faire pleurer, quel gros con...
Elle partit sur la piste de dance. Je la suivis, de peur qu'elle ne fasse une bétise. Mais le serveur alla la rejoindre. Il la portait presque. Je lui avais déjà fait asser de mal comme ça. La fille blonde de tout à l'heure arriva devant moi me demandant si tout allais bien. Je lui répondis sur un ton sec que ça allais. Elle me proposa de dancer. Je n'avais vraiment pas la tête à ça, mais elle m'entraîna sur la piste. Il y avait tellement de monde, que nous nous trouvions près de la porte inscrite " résèrve ". La blonde inconnus posa sa tête sur mon épaule. Inconsiement, je cherchais du regard Léna. mais je ne la vit pas.

- Tu entends, il a l'air d'y avoir de l'action dans la résèrve.

Je tourna la tête, sortis de mes pensées, et écouta plus attentivement. C'est vrai qu'on entendait des bruits, j'aurais plutôt dis des cris même. cela me semblais louche. Je préférais entrer et interrompre quelque chose, que laisser passer ça. Je me retira de la blondasse qui me suivis. Je frappa d'abord à la porte, mais aucune réaction. Je decida d'entrer, mais étonnement, la porte était fermer de l'interrieur. Je demanda à la fille qui m'accompagnais de reculer, et j'enfonça la porte. Il faisait noir. Les personnes qui dançaient ne remarquaient strictement rien. J'entra dans la pièce sombre. Je cherchais l'interrupteur, mais je ne le trouvais pas.

- Ya quelqu'un ?

Personne ne répondit, et pourtant j'entendais des gémissements, et des réspirations sacadées bien distintes. J'avançais, et je découvrir Léna et le serveur. Pas le temps de rester bouche bée, je choppa le serveur, et le frappa au visage. Léna pleurais, je la prise par la main.

- Tu vas bien ? Y ta pas fait mal ?

Entraînée dans la réserve, Léna ne comprenait strictement rien de ce qui se passait. Elle sentit juste son corps s’allonger et un autre se poser sur le sien. Sa tête lui faisait si mal, c’est alors que des mains se fit sentir le long de ses jambes. Ce n’était pas William, elle ne voulait pas continuer et regardant, il s’agissait du serveur. Complètement affaiblit par cette drogue, elle essaya tant bien que mal de le repousser mais impossible. Ses mains continuaient de forcer le passage mais elle ne voulait pas, commençant alors à crier pour qu’il arrête. Continuant, il lui déchira alors une bretelle mais la vampire commençait à se rebeller. Elle se débattait de plus en plus, gagnant de plus en plus de force. Mais rien à faire, le jeune homme plaqua de force Léna au sol, commençant à baver sur elle en y glissant ses lèvres. Elle commença à pleurer de peur et de dégoût, sachant qu’en réalité, pour elle, William n’était pas un coup d’un soir. Mais pour le moment, elle avait autre chose à faire. Sans rien comprendre, le corps qui lui faisait poids sortit de sur elle et quelqu’un lui prendre la main. N’ayant plus de force, Léna tomba au sol, repoussant l’inconnu pour le moment en se cachant dans un coin. Elle était recroquevillée sur elle-même, se cachant le visage.

- N’approchez pas !… Laissez-moi tranquille… Je ne veux pas que cela recommence… Laissez-moi !

Elle délirait, non, elle avait déjà vécu cela mais ce soir là, elle c’était défendue. Elle n’avait pas encore fait attention qu’il s’agissait de William mais elle avait si peur, surtout que là, ses crocs étaient ressortis. Ses yeux avaient changé et elle ne voulait pas faire de mal. Son instinct de survit avait réveillé son envie de sang. Remarquant qu’il s’agissait de William, elle lui dit :

- T’approche pas sinon je peux te faire du mal… Il est parti ?

Léna ne me répondait pas, j'étais inquiet.
Le serveur était partis en courant, nous laissant seul, la blondasse, Léna et moi. Cette dernière sous le choc me repoussa, et alla dans un coin de la pièce. Ses yeux n'étaient pas comme d'habitude, et des crocs étaient sortis. C'est vrai, elle m'avait dit qu'elle était vampire aussi. Je me retourna, regardant le jeune fille blonde stupéfaite.

- Part !!! Dégage !!

Elle resta quelques secondes, puis partis en courant.

- Oui, il est partis, on est que tous les deux.

Je m'approcha d'elle, esseyant de la calmer. Si j'avais sus que tout ça allait ce passer, j'aurais fermer ma gueule depuis le début... Je tandis la main.

- Vient aller, c'est fini, vient, tu ne craint plus rien.

Léna avait une respiration forte et saccadée. Cela se sentait qu’elle était toujours sous le choque et de peur de blesser William, elle préférait qu’il parte mais ce fut autre. Certes la blonde partit en courant après ce qu’elle avait vu mais pas William. Pourquoi restait-il, de toute façon Léna n’était pas importante pour lui. Elle ne comprenait pas et plus elle voulait savoir plus elle s’énervait. Collant ses mains à son visage, elle resserra ses doigts comme pour se griffer elle-même. Elle se retenait, ne voulant pas faire de mal à l’homme qu’elle appréciait. Pourquoi rester avec elle, il était également en danger alors, pourquoi l’aider ? Regardant sa main, les lèvres entrouvertes, elle tourna son visage, ne voulant pas qu’il la regarde.

- Pourquoi tu restes ? … Je ne suis pas importante pour toi alors, pourquoi m’aider, pourquoi jouer la carte de la gentillesse ?… En plus, je n’ai pas de sang sur moi alors tu es également en danger… même si je ne te ferais jamais de mal… J’étais qu’un coup d’un soir alors explique-moi !? Je ne comprends rien de ce monde, j’aurais mieux fait de rester dans ma cage et de ne jamais y sortir…

Elle était totalement déboussolée et cela devenait dangereux pour lui. Son envie de sang ne pouvait que continuer et sautant alors sur William en le plaquant au sol, elle le regarda dans les yeux. Son cou lui donnait envie mais ses yeux… Elle ne pouvait se détacher de ses yeux et en avait plus que marre. A califourchon sur lui, ses mains de chaque côté de son visage, Léna le regardait.

- Tu es en danger avec moi alors, tu as bien fait de me considérer comme un simple coup… Vaut mieux que je parte avant que je ne te blesse…

Se relevant, les yeux de Léna étaient remplis de tristesse mais surtout de tendresse. Elle n’était pas méchante mais elle n’arrivait plus à être avec William sans désirer l’embrasser. Elle posa sa main sur sa bretelle, commençant à sortir de la boîte. A la sortit, elle se posa contre le mur et se laissa glisser sur le sol. Pourquoi ce garçon venait la hanter ? Il n’en avait rien à faire d’elle alors pourquoi pensait-elle à lui ?

Léna se cacha le visage. Cela ne me derrangeais en aucun cas de la voir comme elle étais vraiment.
Elle se jeta sur moi, et me plaqua contre le sol. Exitant...
Elle se releva, et partis. Je me leva à mon tour, courrant à se recherche. Je ne voulais pas qu'elle pense qu'elle ne comptait pas pour moi. Elle est importante à mes yeux, mais pascomme elle le voudrait, et pas non plus comme je voudrais qu'elle soit.
Je me dirigea hors de la boîte de nuit, circulant entre les couples qui dançaient. Une fois dehors, je repris mon souffle, tournant la tête de tous les côtes pour enfin remarquer qu'elle était assis contre le mur.
Je m'assis à côté d'elle.

- Par pas comme ça... Je ne veut pas te rendre triste. Je me suis juste établis une rèlge que je respect depuis cinq ans presque. Et je ne veut surtout pas que tu dise que tu aurait du rester dans cette cage. C'est la chose la plus horrible qu'il soit...

Je refléchis à notre histoire, sans trop penser aux détails, et remarqua que pour elle, c'était peut être la chose la plus horrible.

- Tu es une fille très intelligente, belle, et bourée de talents j'en suis sur. Mais je ne suis vraiment pas le garçon qu'il te faut. Je vais t'avouer quelque chose. Tu doit est la personne qui me connaît le mieux dans tout mon entourage. Je t'ai dit pleins de choses que je n'ai dites à personne. Pour toi ce sont surment des toutes petites choses que tu as du oublier, mais c'est ce qui fait ma vie.

Je passa une main sur mon visage.

- Je n'ai pas le droit de te faire soufrir, et tout ce qui est arriver est de ma faute. Je suis désoler que le serveur ai voulut abuser de toi...

J'avais été le premier homme pour elle. Elle devait surement se dire que je serais le seul, mais pas du tout. Elle en verra des tas, surtout qu'elle est immortelle je croit... Je ne voulais pas la blesser dans ses propres sentiments.

- Si tu as besoin de moi, je serais toujours la pour toi. Si tu as envie d'une aventure, je serais la aussi, mais comme je te l'ai dit avant, ça ne sera qu'une aventure sans lendemain.

Léna le regarda s’installer à ses côtés. Elle voulait juste rester avec quelqu’un, sentir qu’on pouvait l’aimer mais c’était fichu. Elle ne se disait pas que se serait le seul, mais c’était le premier et le fait d’être tombé aussi facilement dans ses bras la dégoûtait. Elle ne voulait pas l’entendre, elle ne voulait pas savoir, juste être avec lui mais c’était impossible. Il ne voulait pas la faire souffrir mais c’est ce qu’il n’arrêtait pas de faire. Elle avait eu tellement peur ce soir, elle voulait être rassurée et surtout, avoir quelqu’un sur qui compter pour la protéger. Relevant la tête, elle regarda William lui faisant un petit sourire forcé. Sa cage était le seul endroit ou elle se sentait en sécurité, seule mais en sécurité.

- Pourtant c’est dans ma cage que je suis la plus en sécurité… Et si j’étais aussi intelligente, je ne me serais pas fais avoir par toi… J’aurais compris ce que tu voulais, c’était juste mon corps et pas moi… Je n’oublie rien… Et c’est à moi de décider si tu es assez bien ou pas… Ne met pas la faute sur toi, c’est à moi de faire attention car je sais que je ne peux faire confiance à personne… Je ne veux pas d’une aventure… Tout ce que je désirs c’est être sur que je peux me reposer sur quelqu’un et surtout, partager certaine chose avec cette personne… Mais tu n’es pas prêt pour ce rôle…

Se levant, elle commença à partir.

Ce n'est pas que je ne l'aimais pas, avec chacune des filles dont j'avais coucher, j'avais éprouver des sentiments, et la, avec Léna ils étaient encores plus fort. Mais un coup d'un soir reste un coup d'un soir, malheureusement.

- Tu as raison, je ne suis pas prêt pour ce rôle, et je ne le serais aparement jamais...

Je baissa la tête involontairement. Cela me faisais de la peinne de l'entendre dire que la où elle se sentait le plus en sécurité, c'était sa cage en métal... Personne ne devrait être enfermé. Elle se leva... Je ne voulais pas qu'elle parte, pas comme ça. Pas en pensant que j'étais qu'un gros con qui la faisait soufrir. Je me leva, la prise par le bras.

- Attend !! Part pas... Retourne pas dans ta cage... Je ne veut pas que tu parte dans cet état, et encore moins à cause de moi.

Je ne savais pas quoi faire, ce qui était sur, c'est qu'elle ne devais pas retourner dans ça foutu cage.

Léna commença à marcher tranquillement, tenant toujours sa bretelle mais elle sentit une main se glisser contre elle. William venait de la rattraper par le bras et se dégageant de sa prise, elle s’arrêta. Son geste montrait bien qu’elle n’avait réellement pas envie d’être prise dans les bras de quelqu’un là, encore moins les siens, même si c’était faux. Il ne voulait pas qu’elle parte, pourquoi ? Cette cage était le seul lien qui pouvait lui permettre de rester elle-même. C’était cette cage qui lui donnait la possibilité de ne pas faire de mal et de ne pas souffrir apparemment. Elle devait bien partir de toute manière, surtout que demain, c’était LE soir. Baissant la tête, elle posa son regard sur sa brettelle déchirée, la tenant toujours avec la main.

- De toute manière, demain soir je serais obligée d’y retourner… C’est la pleine lune… Et je te demande de ne pas venir, je t’en pris… Il y a la cage mais je ne suis jamais sur à 100% qu’elle tient… Je peux très bien la détruire mais comme je suis sous terre, je sais que je ne pourrais jamais sortir… Tu ne dois venir sous aucun prétexte… Si je ne suis pas d’humeur ce soir c’est bien pour deux raisons… Alors, laisse-moi retourner dans ma cage, je dois rester habitué de toute façon, j’y retourne demain…

Relevant la tête, elle s’approcha de lui, lui déposant un baiser sur la joue. En se reculant, elle laissa sa joue glisser sur la sienne, frôlant de quelques millimètres leurs lèvres. Elle le regarda dans les yeux et lui fit un petit sourire.

- A dans deux jours si tu veux me voir ! Demain, je ne sortirais pas du tout…

Lui tournant le dos, elle repartit en direction de sa cage.

Elle y retournerais de toute manière...
A quoi bon la suivre. Je veut juste qu'elle continue à sourir. Je leva la tête, et regarda la lune qui était presque plaine. Je pouvais la cacher pour elle demain, mais elle aurait surement refuser mon aide. Comme elle me refusait, moi, de toute façon. Elle s'approcha de moi, la main sur ça bretelle déchiré, et m'embrassa sur la joue. Ses lèvres caressèrent presque les miennes au passage. J'aurais voulus la prendre dans mes bras, et l'embrasser réellement, mais ma tête me disait que je devais m'abstenir. " A dans deux jours ? "...

- Nan, il vaudrait mieux qu'on ne se revoit pas... Sauff si tu veut une histoire sans lendemain, ce qui m'étonnerais. Sinon, vient à la biblio...

Je me retourna, et partis. Je ne pus m'empêcher de la regarder, et courrus la rattraper. Je me mis devant elle, passa une main derière sa tête, et l'embrassa fougueusement.

- Notre dernier baiser.

Je retira ma main, lui souris, et repartis...

Peut-être à la bibliothèque, pensait-elle. Puis, sachant qu’il pouvait cacher la lune, elle eut une petite idée. Mais non, cela n’était pas possible, il refuserait, surtout qu’il venait de dire qu’il valait mieux qu’ils ne se revoient pas. Même en ami il ne voulait pas la revoir, mais pourquoi ? Continuant de marcher, elle le vit se placer devant elle, glissant sa main contre sa joue pour caresser ses cheveux avant de venir déposer ses lèvres. Ce baiser fut si fougueux, pourquoi lui en offrir un avec autant d’intensité si c’était le dernier. Un simple « smac » aurait été bien plus facile à oublier. S’arrêtant à son tour, elle se retourna vers lui qui partait.

- Je refuse… JE REFUSE ! … Si je n’ai même pas le droit de rester ton ami alors dit-moi pourquoi j’accepterais des histoires sans lendemain avec toi ? … Et réfléchis bien, si tu enchaîne les histoires sans lendemain tous les soirs avec moi, alors ce n’est pas un coup d’un soir… Tu sais très bien que même maintenant je te désirs, que j’ai envie de toi mais… Je sais aussi que tu ne coucheras pas qu’avec moi… Je peux te donner tous ce que tu veux, tu iras certainement voir ailleurs et pour la pleine lune, tu pourrais peut-être… Non, laisse tomber… A bientôt ou à jamais… Tout dépend si je veux re-sortir… Bonne nuit avec ta blonde !

Cette fois-ci, le petit faux couple s’amusait à se retourner toutes les cinq minutes. Autant finir la nuit ensemble mais bon, la fierté passe toujours avant le reste. Où plutôt, c’est plus simple de fuir que d’avouer la vérité.

Mon coeur battait de plus en plus vite. C'était un signe qu'il fallait en finir.

- On ne pourra jamais être amis... En tout cas moi, je n'arriverais pas à te voir comme une amie. Si on couche ensembles tous les soirs...

Je secoua la tête.

- C'est vrai... Je ne coucherais surement pas qu'avec toi... Pour la pleine lune, je pourrais très bien la cacher je sais.

Je la désirais encore plus que la derière nuit passer avec elle. Mais, je savais très bien qu'elle aurait de plus en plus de sentiments, et que ce serait encore plus dure de s'en débarrasser. Je ne vis que des histoires sans lendemain merde !! Je ne m'attache pas !!

-Rappellons - nous de la nuit dernière comme un beau souvenir... En tout cas, c'est ce que je fais...

Je continua ma marche. Je ne voulais pas la regarder dans les yeux, elle m'aurait fait craquer.

Ne jamais être ami, alors quoi ? . Si elle ne pouvait pas être son amie, alors que pourrait-elle être ? Une poupée qu’il pourrait désirer à sa guise ? Une fille qu’il voulait pour ces soirs ou il serait seul ? Elle ne voulait pas être cela et c’était ce qu’il était entrain de lui dire. L’entendant lui dire qu’il pouvait cacher la lune, elle s’arrêta de nouveau. Il fallait se rappeler de la nuit dernière comme d’un bon souvenir pour lui, mais il avait omit un détail. Ne se retenant pas pour lui rappeler, elle le regarda, lançant bien fortement :

- C’est sur, je n’oublierais pas ta sonnerie !

S’il venait la rattraper, elle ne pourrait que craquer. Les deux allait craquer et voulait réellement continuer cette soirée ensemble mais la peur était là. La peur qu’elle s’attache, la peur surtout qu’il s’attache à elle. Elle c’était trop tard, qu’ils le fassent ou non, elle était attachée à lui.

A ses paroles, je me stopa net. J'avais carément merdé avec se portable à la con. Je souris quand même, et ajouta sans pour autant me retourner.

- Je l'avais choisis juste pour toi.

A chaque fois que je l'entenderait, elle me ferait repensé à cette nuit toride. Je sortis mon portable de ma poche, selectionna le menu sonnerie, et cliqua sur " Ok " . Et la, la sonnerie de mon reveil rétentit.

- Au souvenir du bon vieux temps...

Je pris mon téléphone, le serra entre mes mains, et l'explosa par terre... j'amais plus je ne veut entendre cette foutu sonnerie. Je continua de marcher, en direction opposée de celle de Léna.

Léna entendit alors la sonnerie et se mit à rire. En repensant à la scène, c’était vraiment comique mais étrangement, se furent des larmes qui sortirent des rires. La tristesse ne faisait que l’envahir pour ce soir et entendant un fracas, elle comprit que c’était réellement fini pour lui. Enfin, elle pensa que c’était ce que cela signifiait. S’amusant alors, elle sortit son portable à elle et actionna la musique. C’était exactement la même sonnerie que son réveil. Elle ne lui avait jamais dit mais sa sonnerie était la même que la sienne pour lui rappeler l’heure à la quelle elle devait s’attacher. Continuant de marcher, elle laissa la sonnerie ne marchant jusqu’à totale disparition du bruit par la distance.

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