La galère continue... [William + autre](terminé)

Etant vêtue d’une robe noir, simple et plutôt mignonne, Léna partit dans un bar pour y retrouver un ami de William. Décidément, elle ne comprendrait jamais ce garçon. Enfin bref, elle attendit au bar, le temps qu’il arrive, le voyant passer la porte. Lui faisant un petit signe, elle s’installa de nouveau sur sa chaise avec un regard bien loin du bonheur. Il fallait bien penser à autre chose et puis, William ne voulait pas d’elle alors, autant voir si un autre ne la désirait pas. Le voyant s’installer près d’elle, il commanda un verre pour lui, la laissant choisir. Lui souriant, elle prit sa limonade, sirotant tranquillement. Attrapant sa paille avec la langue, le geste fut si sensuelle que le jeune homme en resta scotché à ses lèvres. Le regardant, il se réveilla un peu, la regardant plus dans les yeux. Il posa de simple question, son nom, ou elle vivait, depuis quand, était-elle à l’université, qu’étudie-t-elle, telle de question que Léna détestait entendre. Enfin bon, il fallait bien être sympathique. Lui répondant tout honnêtement, enfin, avec une vie inventée, elle continua à lui parler calmement. Les heures passaient et ils continuèrent à parler jusqu’à ce qu’il ose l’inviter à danser. Un petit slow ne fait de mal à personne.

Montant sur la piste, elle s’approcha légèrement de lui. Il colla son visage contre le sien, resserrant l’espace entre eux. Léna avait l’impression d’étouffer dans les bras du jeune homme, elle n’était pas bien. Elle avait l’impression d’une prison, pire que sa cage. Pourquoi cet effet ne prenait pas avec William. Pourquoi penser à lui et comparer ces deux hommes ? Par réflexe pour oublier, Léna posa sa tête sur l’épaule de Jazon, se laissant entraîner par la musique. Elle détestait cette sortit, elle ne voulait pas de cela, c’était si étouffant, elle n’arrivait plus à respirer, c’était insoutenable. Ecartant son corps de celui de Jazon, elle s’excusa et partit dans les toilettes. Là, elle se précipita pour vomir. Elle n’était pas malade mais cette boîte l’étouffait. Normal après ce qu’elle y avait vécu. Se tenant les cheveux, elle continua à vomir, tendit qu’une demoiselle partit voir un serveur. Se posant entre deux hommes (dont William) elle lui dit qu’une jeune femme ne se sentait pas bien et qu’elle était dans les toilettes entrain de vomir. Le serveur se précipita pour aller voir la personne et voyant qu’il s’agissait de Léna, retourna en arrière pour attraper une poche de sang en disant à son collègue :

- Remplace moi ! Léna ne va pas bien et il lui faut du sang…

Courant dans les toilettes, il apporta la poche de sang à Léna, lui tenant alors les cheveux. Après cela, Léna se releva et partit à l’évier pour se rincer la bouche. Il lui apporta même une brosse à dent et ce qu’il fallait pour rafraîchir son haleine. D’ailleurs elle rigola bien en voyant cela. Prenant sa poche de sang, elle planta ses crocs dedans, commençant à boire tendit que le serveur l’installa sur l’évier. Regardant le serveur dans les yeux pour être sur que tout allait bien, Léna entendit la porte des toilettes s’ouvrir.

J'étais assis au bar, buvant un verre d'eau. Oui, pas d'alcool pour ce soir. Je ne voyais pas Jazon et Léna. Non pas que je les cherchaient, ni que je les observaient, mais juste par précaution. Soudainement, une dame très élégante accourait vers le bar. Elle parla à un des serveur, qui avait mentionné le prénom de Léna. Il lui apporta une poche de sang aux toilettes. Je me leva de ma chaise, traversa la piste de danse, et par la même occasion vis Jazon poireauter. J'ouvris la porte des toilettes pour dame. Il y avait le fameux serveur et Léna. J'attendis qu'elle ai fini pour lui parler.

- Tu vas bien ?

Léna était toute pâle, elle n’allait pas bien du tout. Buvant sa poche de sang, elle la jeta à la poubelle en l’ayant fini. Le serveur regarda Léna pour voir si elle allait mieux et repérant une chose, Léna entendit la voix de William. Levant la tête vers sa direction, elle lui fit un doux sourire, hochant positivement la tête. Mais, le serveur n’était pas de cet avis.

- Ne mens pas Léna, tu n’as pas bu de sang depuis trop longtemps pour moi… Si tu n’as plus de réserve, il faut le dire… Ou alors, il y a quelque chose… La seule chose qui te provoque un manque de sang est sois le manque de nourriture, soit un stresse intense qui t’a explosé tes réserves…

La tentative de viol était ce stresse qui venait de l’affaiblir. Laissant le serveur Sortir, elle lui demanda de condamné les toilettes pour le moment. Elle ne voulait pas louper ce moment avec William même si elle avait peur.

- J’aurais dut refuser l’invitation mais je me voyais mal le faire après… Tu as du comprendre que ce n’était pas un manque de nourriture mais le fait que j’aie faillit être violé qui a déclenché cela chez-moi… Je suis contente de voir…

Le serveur lui fit limite la morale. Je les regardaient sans rien dire.
Puis, peu de temps après, le serveur partis, nous laissant seule Léna et moi.

- Je m'en doute bien... Je suis vraiment désoler pour cette histoire.

Je m'avança vers elle, et la prise dans mes bras.
J'aurais voulus que ce moment dure éternellement.

Regardant William s’approcher d’elle et la prendre dans ses bras, Léna ne put que prolonger l’étreinte. Elle se sentait si bien avec lui, il n’y avait pas de sensation d’étouffement, elle respirait parfaitement et se sentait apaisée. Le regardant dans les yeux, elle lui fit un doux sourire, ne pouvant s’empêcher de l’embrasser. Ce fut d’abord innocent, puis bien plus intense pour devenir plus que fougueux. Elle ne pouvait s’arrêter, maintenant, c’était trop tard. Avant de continuer plus loin elle le stoppa :

- Tu éteins ton portable…

Lui faisant un sourire complice, elle continua de l’embrasser, faisant glisser ses mains sous sa robe. Et à la surprise générale, elle ne portait rien car son string était déjà sur le côté. Elle avait fait exprès.

Elle me regarda tendrement, puis m'embrassa... Un long baiser. La chaleur montait en moi.
Elle me demanda d'éteindre mon portable, je rigola. Je le sortis de ma poche, et le mis en mode silence.
Elle passa une main sous sa robe noire. Son string était déjà enlevé... Je la pris par les hanches, et la rapprocha de moi, la colla complètement. Je l'embrassa sur les lèvres, puis dans le coup. Ma langue dérapait sur son épaule. Je fis glisser les bretelles de sa robe, qui tomba sur le sol. Elle était nue. Je la caressa. Je l'embrassa sur la poitrine, descendant d'avantage. Pourvus que les toilettes soient bien fermés à clef. Je tendis la main quand même pour vérifier. C'est bon. Je continua de descendre, puis remonta.

Continuant de l’embrasser, Léna sentit les mains de William se poser sur ses hanches pour la rapprocher encore plus de lui. Se collant totalement à lui, elle frissonna de plaisir à la descente de ses lèvres. Sa bretelle se retira et décidant d’aller plus vite, Léna retira entièrement sa robe. Elle ne pouvait se passer de lui et pourtant, c’était ce qu’elle devait faire. Les caresses de William augmentaient la température de son corps, augmentant de même son excitation. Ses mains glissèrent dans ses cheveux à l’approche de ses lèvres sur sa poitrine. Le sentant descendre d’avantage, elle ferma les yeux pour le revoir alors face à elle. Ne décrochant pas son regard du sien, elle continua de l’embrasser, retirant son haut. Faisant glisser ses mains le long de son torse, elle commença à déboutonner son pantalon, détachant tous ce qui pouvait empêcher ce moment. Ne cherchant à comprendre, elle fit volontairement tous tomber, continuant de l’embrasser avec fougue. Les jambes de la demoiselle passèrent alors autour de lui, le ramenant contre elle.

Elle me déshabilla...
Mon coeur battait plus vite, mon excitation et mon envie se faisaient de plus en plus importantes. Elle me rapprocha, je mis mes mains dans son dos. Je la fis tourner, et reculer. Le mur qui était derrière elle maintenant la stoppa. Je l'embrassai plus sauvagement, laissant une main descendre jusqu'à son intimité pour y introduire deux doigts. Quelques minutes plus tard, je les retira. Je pris sa cuisse, la montant vers moi. Je la souleva, ses deux jambes enlacèrent ma taille. Et je commença à la pénétré doucement, avec beaucoup de tendresse.

Se rapprochant encore plus de lui, il commença à la prendre tout en la reculant. Se stoppant par le mur dos à elle, elle prolongea ce baiser bestial, désirant de même que l’acte soit le même. Sentant sa main descendre à son intimité, Léna resserra ses doigts dans la chevelure du jeune homme, commençant à faire entendre sa respiration lorsqu’il pénétra deux de ses doigts. Son corps se serra d’avantage contre le sien et quelques minutes après, les mains de William vinrent glisser le long de ses cuisses, commençant à zen soulever une pour ensuite la porter. Grâce au mur, Léna ne glissait pas et enlaçant sa taille de ses jambes, elle sentit de nouveau cette sensation si intense, comme cette nuite là. Arrêtant le baiser, Léna commença à pousser de léger gémissement, tendit que sa respiration se faisait toujours entendre. Pour ne pas s’éloigner de lui, elle entoura son dos de ses bras, les déposant sur ses épaules. Sa poitrine qui était dure face à l’excitation se collait contre son torse. Elle savait que se serait sans rien d’autre en retour mais il avait beau lui dire, elle savait qu’elle aurait peut-être le droit à une autre nuit.

Elle mis ses mains dans mon dos. Et elle commença à pousser quelques gémissements.
Ma respiration devint saccadée. Je la pénétra plus en profondeur. Cela me procurais un tel plaisir...
Je souhaitais que ce moment dure éternellement. Je sentais sa peau sur la mienne. Je la voulais à moi
tout seul. Je me pencha pour l'embrasser dans le coup.
Ça me donnais des frissons.

Alors qu’il y allait en douceur, elle sentit que son membre commençait à aller bien plus profondément. Ce mouvement la fit gémir tout autant mais un peu plus bruyamment. Léna voulait qu’il resta à elle mais cela lui était impossible, en tous cas, elle risquait de rester à lui seul. Ses baisers dans le coup la fit chavirer de bonheur, la laissant totalement se livrer entre les mains de William. Lors de ses baisers, la tête de Léna bascula légèrement en arrière, laissant sa chevelure longer son dos. Ses mains se resserraient, commençant de nouveau à faire glisser ses ongles sur sa peau. La chaleur de la pièce ne faisait qu’augmenter.

Les ongles de Léna sur mon dos m'excitaient.
J'accéléra un peu plus, la laissant jouir de mes coup de bassins. Je continuais de la pénétré, et j'éjacula. Je me retira du corps de Léna, me mis à côté d'elle adossé contre le mur, et repris ma respiration. J'étais épuisé, elle m'avais bien fatigué. Je la regarda, et l'embrassa langoureusement. Je me baissa, pris mon caleçon, l'enfila, et fis pareil de mon jean. Je passe ses affaires à Léna, la laissant se rhabiller. Je pris mon tee-shirt, et le mis sur une épaule. J'avais beaucoup trop chaud pour l'enfiler. Je regarda Léna mettre le peu de vêtement qu'elle avait. Je ne pouvais m'empêcher de la toucher, de l'embrasser.

Léna sentit une vague de chaleur monter en elle, une sensation étrange qui venait l’envahir et la submerger. Sentant alors une émotion bien trop forte à contenir, Léna resserra l’étreinte, jouissant d’un orgasme encore jamais connu. Elle était totalement essoufflée et pour ce soir, ils étaient aller jusqu’au bout. S’installant à côté d’elle, Léna regarda William et se laissa embrasser langoureusement, prolongeant le plus possible le baiser. Elle se sentait si bien avec lui. Le voyant se relever pour s’habiller, Léna n’en perdit pas une goûte, s’en léchant les lèvres en le regardant. Le voyant lui passer ses vêtements, elle prit son string sur le rebord et commença également à s’habiller. Arrivé à la robe, elle regarda William qui ne pouvait s’empêcher de venir se coller à elle et l’embrasser. Le regardant dans les yeux, elle lui fit un doux sourire, se demandant ce qu’elle allait dire à Jazon pour qu’il comprenne qu’elle ne voulait pas sortir avec lui.

- Tu vas faire quoi maintenant ?

Restant dans ses bras, elle avait du mal à s’en détacher.

Je la prise dans mes bras, ne voulant pas la laisser partir.
Je la regarda.

- Je vais rentré à l'Université, et toi ?

Je savais bien qu'elle devais aller s'expliquer avec Jazon, et je ne m'en fis pas pour ça. Je passa ma main dans ses cheveux. Je l'embrassa. Et me dirigeant vers la porte de sortis.

- C'étais un jolie coup d'un soir.

Je lui fis un clin d'oeil...

Restant dans ses bras, Léna le regarda dans les yeux. Elle ne voulait pas qu’il parte, elle désirait tellement qu’il reste avec elle. Malheureusement, il y avait le sujet Jazon à régler. D’ailleurs, la question inversée de William l’avait fait rire car il savait exactement ce qu’elle allait faire.

- Je vais devoir expliquer à Jazon que j’étais malade mais qu’il n’est pas fait pour moi…

Ce qui l’amusa d’avantage fut la suite. William lui fit une petite remarque et compliment à la fois. Un joli coup d’un soir, si on veut. D’ailleurs, son clin d’œil venait gâcher son sérieux dans la scène. Lui laissant un dernier sourire, elle le laissa partir, se demandant ce qu’elle allait faire maintenant. En tous cas, elle n’était pas qu’un coup d’un soir mais elle voulait bien jouer le rôle. Se dirigeant à l’extérieure des toilettes, Léna n’en cru pas ses yeux. Jazon était toujours là mais pas avec une très bonne mine. Il avait dut boire des verres en l’attendant et regardant le serveur, il comprit de suite ce que Léna voulait. S’approchant tout de même de lui, elle s’excusa et lui expliqua la situation. Elle était restée entrain de vomir dans les toilettes et de toute manière, entre eux, cela ne serait pas aller très loin. En voulant sortir, il bouscula un homme aussi bourré que lui. Une petite bagarre risquait d’éclater mais s’interposant, Léna reçut le coup. Un joli bleu sur le visage, si William voyait cela, il allait penser que Jazon l’aurait cogné ou alors, qu’il c’était passé quelque chose de grave. Heureusement qu’elle pouvait se régénérer et portant Jazon jusqu’au taxi pour l’université, elle souffla un petit peu, se dirigeant vers son petit abri à réparer.

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