Moment de détente [William + autre](terminé)

Elle passa une main dans mes cheveux noirs. Je fis de même sous son tee - shirt, ou devrais - je dire mon tee-shirt. Je sentais sa langue contre la mienne. Ma main montait le long de son ventre, jusqu'à ses seins que je caressa avec douceur. Je la mise sur le dos. Puis je me mis sur elle. Je l'embrassais dans le coup, puis lui retira mon grand tee - shirt. Elle n'avait plus rien en dessous. Ma langue continua sa trajectoire en descendant. J'arrivais à son intimité, la tête sous la couette. Je la lécha avec tendresse, la pénétrant avec ma langue. Je remonta, l'embrassant sur les lèvres cette fois si. Mes mains ne faisaient que la caresser.

L’une des mains de William partit sous son tee-shirt, Léna le laissa faire, sentant l’envie grimper de plus en plus. Sa main vint alors caresser sa poitrine, la mettant sur le dos pour s’allonger sur elle. Continuant de l’embrasser, les lèvres de William partir à la rencontre de son cou. Sa respiration était chaude et son cœur battait de plus en plus vite. C’est alors qu’il retira son tee-shirt, la laissa totalement nu sous son regard. Le lit les rapprochait terriblement, et sentant les lèvres de William descendre de plus en plus, passant sur son ventre en disparaissant sous la couverture, Léna ne savait plus quoi faire. Elle le désirait réellement mais comment faire pour qu’il soit avec elle et aucune autre. C’est alors que sa langue vint lui lécher délicatement son intimité, laissant échapper un doux gémissement des lèvres de la demoiselle. Son corps se crispa sous le plaisir et sous cette pénétration si atrocement magique. Le sentant remonter, elle l’embrassa à nouveau, le laissant se glisser entre ses jambes. Les mains de William la caressa sans relâche et passant les siennes sous le tee-shirt de ce dernier, elle lui retira, collant ainsi sa poitrine contre son torse. Elle était si excitée maintenant, comment un homme pouvait la rendre dans un état pareil ? Glissant sa main vers le bas du dos de William, elle sentit le caleçon, glissant ses doigts légèrement à l’intérieure, la faisant passer devant. Continuant de l’embrasser avec fougue, Léna se laissa légèrement aller, venant caresser de ses doigts le membre de son partenaire. Elle était maintenant capable d’aller bien plus loin pour lui.

Je l'embrassa... Elle me rendait complètement fou. J'avais du mal à me contrôler. Léna ma retira mon tee - shirt
ses mains passaient sur mon torse. Cela me fis frissonner. Puis, elle descendirent à mon caleçon, où elle passa ses doigts à mon pénis. Une vague de chaleur m'envie... Je me laissa faire quelques minutes, puis elle retira complètement mon caleçon. Je passa ma jambe entre les siennes, la bougeant légèrement. Je continua à l'embrasser, venant caresser sa langue avec la mienne. Puis je retira ma jambe, me remis comme avant. Ses cuisses s'écartèrent, et mon membre commença à la pénétré doucement. Je faisais de doux et léger vas et vient. Plusieurs minutes après, j'accelera le mouvement, pas trop vite non plus, juste pour lui laisser le plaisir de l'acte. Je laissais échapper quelques soupires d'extase. C'est comme si il n'y avait que nous, sans personne sur terre.

Léna sentit que cela lui avait fait bien plus que plaisir. Elle était contente de voir qu’elle lui avait procuré une légère sensation en plus. Puis, William commença à s’installer petit à petit, l’embrassant toujours avec autant de sensualité. Il se remit alors comme au départ, écartant de plus en plus les cuisses de la jeune fille. Laissant son corps entièrement à lui, elle posa sa tête sur le cousin, sentant son membre venir la pénétrer avec douceur. Un souffle bruyant sortit de ses lèvres, suivit de plusieurs gémissement par la suite. C’était encore doux et léger mais après quelques minutes, il accéléra le rythme légèrement, la faisant gémir de plaisir sous ce poids intense. Elle entendait également les petits soupires d’extase de son partenaire, si doux à son oreille. Elle était heureuse de savoir que lui aussi prenait plus que du plaisir avec elle, tout comme elle avec lui. Elle oubliait totalement le reste, ne pensant qu’à William et elle. C’était tellement incroyable, à chaque moment passé avec lui, elle ne pouvait qu’être heureuse. Cela faisait déjà un bon moment qu’ils étaient ensemble mais elle ne voulait pas que cela s’arrête, malgré cette chaleur qui montait de plus en plus en elle.

Ses gémissement m'encourageaient. Je continua de la pénétré plus profondément, et plus lentement.
Je faisais parcourir ma langue sur la sienne sans que nos lèvres ne se touchent. Puis je me pencha d'avantage pour atteindre son coup que j'embrassais de plus belle. Nous ne fesions plus qu'un.
Je me retira un moment, reprenant ma respiration, puis posa ma main sur son visage. Je l'embrassa encore plus tendrement qu'avant. Le plaisir ne faisait qu'augmenter. Je la fis se mettre à genoux sur le lit, se retenant avec ses mains sur le lit aussi. Je me mis derrière elle, à genoux aussi. Puis je la pénétra de nouveau, toujours avec douceur, mais beaucoup plus loin. Mes mains caressèrent son dos, puis descendirent sur son ventre, remontant jusqu'à ses seins. Un frisson me parcourus. Cette position m'excitait...

La pénétrant bien plus profondément, les gémissements se faisaient plus haut. Regardant William, elle lui fit un doux sourire, s’amusant également avec sa langue, sans toucher ses lèvres. Il revient embrasser dans le cou bien plus intensément. Elle ne pensait plus lui et elle mais eux. Alors, lorsqu’il se retira, elle le regarda dans les yeux, suivant ce qu’il désirait. Il venait de poser sa mon sur son visage pour l’embrasser avec une tendresse qu’il n’avait jamais offert avant. S’installant comme il le voulait, elle se mit d’abord à genoux avant de poser ses mains pour se retenir. Le sentant venir derrière elle, elle le laissa faire, sentant de nouveau les pénétrations venir. C’était si excitant, elle n’aurait jamais cru cela aussi bon. Sous le poids du plaisir, elle serra ses mains contre le matelas, forçant légèrement pour que les pénétrations se fasse plus en profondeur. Des frissons de plaisirs la parcouraient, elle était totalement submergée par ces envies et ce plaisir si incroyablement majestueux. Elle continuait à gémir de plus en plus, faisant également entendre sa respiration.

Elle gémissait de plaisir. Je continuais à la caresser tout en la pénétrant avec envie.
J'accelera de nouveau, continuant mes nombreux coups de bassins régulliés. J'en soupirais je plaisir.
Je faisais circuler mes mains aux divers endroits du corps de Léna, lui laissant le plaisir de jouir. Je nouvelle vague de chaleur m'envie entièrement, et j'éjacula continuant quelques vas en vient. Je fis glisser une énième fois mes mains chaudes sur la poitrine de Léna, lui déposant un baiser sur le bas du dos, et me retira. Je la prise par les hanches, ne lui laissant pas le temps de respirer, et la tira vers moi. Je l'enroulais de mes bras, et rigola. Je lui fis basculer la tête sur le côté, et l'embrassa. Nous nous écroulâmes, moi sur le matelas, et elle sur moi.

- Bon, va falloir que j'aille me laver moi.

Je me leva, ramassa les habits qui traînaient un peu par tout, et les balança dans le panier à linge sale. Je fis couler l'eau de la douche, et mis infiltra. Je laissais l'eau tomber sur mon visage et mes cheveux. Je pris du savons, et me frotta toutes les parties du corps.

Les mains de William continuaient de caresser avec douceur et tendresse le corps de Léna. Les pénétrations ne faisaient qu’augmenter cette vague de chaleur qui ne demandait qu’à exploser. Gémissant de plus en plus longuement et fortement, elle sentit l’orgasme arriver, jouissant juste après que William venait d’éjaculer. Elle sentit sa main venir à nouveau au contacte de sa poitrine, sentant ses lèvres l’embrasser au bas du dos. Lui prenant les hanches, Léna se laissa aller, collant son dos à son torse et tournant la tête pour l’embrasser également. Elle aimait tellement être dans ses bras. Rigolant légèrement avec lui, elle se laissa tomber sur le matelas avec lui. Devant se laver, il se leva et elle le regarda avec envie. Se levant du lit, elle regarda sa chambre, entouré du drap pour le moment et décida d’entreprendre une chose. Se dirigeant vers la douche, elle se glissa à l’intérieure, glissant ses mains autour de la taille de William. L’embrassant sur le dos, laissant son corps se coller au sien, elle commença à lui caresser le torse, descendant de plus en plus jusqu’à son membre. Arrivé à là, elle le tourna face à elle, le regardant dans les yeux. L’eau venait alors longer le corps de Léna qui ne détacha pas son regard de William. Il se mentait en disant qu’elle était le coup d’un soir.

- Tu veux bien que je reste ?… Personnellement, j’ai toujours autant envie de toi…

S’approchant, elle l’embrassa, glissant sa main dans ses cheveux. Etant plus petite, elle s’était mise sur la pointe des pieds, laissant son corps se coller à lui.

L'eau chaude sur mon visage me faisait un bien fou. Puis je sentis des mains sur sa taille, c'était Léna. Ses doigts descendaient, de mon torse à mon pénis. Cela me surpris venant de sa part. Elle me retourna, et ma regarda. Je vins déposer mes lèvres sur les siennes le plus longtemps possible. Elle me demanda de rester, et qu'elle avait envie de moi. Je ne répondis pas. Je lui caressa juste la joue, avec un petit sourire forcé. C'était un coup d'un soir, dans ce cas la, un coup de plusieurs soirs, mais c'est tout. Elle sait très bien que j'irais voir ailleurs. Le fait de me sentir appartenir à quelqu'un oppresse, je veut me sentir libre.

Léna sentait qu’elle n’était pas autant désirée. Elle comprit alors qu’elle ne pourrait certainement jamais rester avec lui. Le problème n’était pas elle, le problème c’était lui car il ne voulait pas appartenir à une seule femme. Elle l’embrassa tout de même, baissant ensuite la tête pour reculer. Elle lui fit également un sourire forcé et attrapa une serviette pour sortir. S’arrêtant à l’entrer de la douche, elle le regarda et lui dit :

- Tu n’appartiens qu’à toi, et toi seul ! Tu es le seul qui peut choisir avec qui tu veux être et non à qui tu dois appartenir… Je ferais mieux de te laisser, de toute manière, j’ai toujours ce rendez-vous tout à l’heure… Merci pour cette dernière nuit…

Fermant la douche derrière elle, elle posa la serviette sur le côté et partit à la recherche de ses vêtements. Elle réussit tout d’abord à retrouver ses sous-vêtements, mais pas le reste. Elle cherchait dans toute la chambre lorsqu’on vint frapper à la porte. Il s’agissait de Jazon. Regardant William elle décida d’ouvrir la porte, ce dont elle ne s’attendait pas vu l’entrer un peu brutal du jeune homme.

- Hey ! William, pourquoi tu es dans le noir ? Ouvre les rideaux ! Tu ne viens pas en cours ?

Refermant la porte, Léna regarda l’armoire, chose la plus stupide mais pas tout à fait. C’est alors qu’elle vit Jazon prendre les rideaux de chaque côté, les ouvrant le plus grand possible, envoyant toute la lumière sur Léna qui se précipita dans l’armoire. Elle venait d’être brûlé sur l’épaule droite et toute la jambe qui avaient été les derniers à entrer dans l’armoire. Se posant de côté, elle ne bougea plus de là, espérant qu’il ne l’obligerait pas à sortir. Jazon commença à se diriger vers l’armoire.

- Bah alors ! C’est la première fois que la fille se cache dans l’armoire, qu’est-ce qui lui arrive, elle a peur du soleil ? Vient la sortir William !

Elle m'embrassa et sortit de la douche. Je me colla contre le mur carrelé de la douche, en soupirant.
Léna pris une serviette, et alla s'habiller. Quelqu'un frappa à la porte. Une fois à l'intérieur, je reconnus par la voix que c'était Jazon. Qu'est qu'il venait faire ici se pommé ? Il me demanda se sortir. Je stoppa l'eau de la douche, attrapa une serviette, et l'enroula autour de ma taille. Quand j'entra dans la chambre, les rideaux étaient grands ouverts. Je m'approcha et referma aussitôt ceux ci.

- Putain mais té vraiment con toi !! Mêle toi te des affaires. Je viens pas parce j'ai pas envie de venir.

J'ouvris l'armoire, et en fis sortir Léna qui a première vus avait été touchée par le soleil.

- Aller maintenant dégage !!

Je lui montra la sortis. Me tournant vers Léna.

- Tu vas bien ?

Je baissa la tête.

- Reste ici jusqu'à ce que tes parents se calment avec cette histoire de mariage arrangé. Mais c'est tout, après c'est fini.

Je sortis quelques affaires de mon armoire, et commença à m'habiller. Puis je me dirigea vers la salle de bain, et me brossa les dents. Je me mis en direction de la sortis.

- Attend moi, je vais aller prendre des trucs à manger. Reste ici, c'est plus prudent. Comme je te l'ai dit tout à l'heure, il y a des bouquins dans le placard, sers toi.

Et je refermis la porte derrière moi, et alla acheter des sandwich.

Léna voyait bien que William tenait à elle mais elle ne pourrait jamais supporter de n’être pas l’unique à coucher avec lui. Il ne voudra jamais d’attache réelle et malheureusement, elle ne lui avait pas dit, mais, elle était obligée d’y aller. Même si c’était pour refuser, elle devait y aller pour affronter ses parents. Une petite séance de torture l’attendrait certainement mais bon, s’il fallait passer par-là pour mérité sa liberté, elle le ferait. Surtout que ce n’était pas pour elle, enfin si, juste pour rester avec lui, même s’il allait avec d’autre. Comme ce texte le montre si bien, Léna était totalement confuse, elle ne savait pas si elle devait accepter ou refuser de vivre ainsi alors qu’elle appréciait réellement William. Ses brûlures allaient partir mais c’était sur qu’elle avait eu vraiment mal. En tous cas, après c’était fini, comme il l’avait si bien dit. Elle était restée silencieuse tout le long, elle ne lui avait même pas dit si oui ou non sa allait. Comment voulait-il que sa aille si non seulement elle avait été brûlée mais qu’en plus elle ne pouvait pas avoir l’exclusivité avec lui.

Regardant dans son placard, elle attrapa un livre après qu’il soit partit et s’installa dans le fauteuil en se couvrant. Lisant, elle commença à s’endormir, laissant tomber le livre tendit que ses blessures se guérissaient. Elle était bien trop faible pour le moment, le soleil venait de lui enlever un peu d’énergie.

Je sortis de l'Université. Je salua de nombreuses connaissance. Je me dirigeais vers le supermarché. J'y entra, paya les quatre sandwichs, et revins en direction du Bahut. Je passa devant un marchant de fleurs, et mis arrêta. Je pris un bouquet de roses noires, mes préférées, en espérant qu'elles plaisent à Léna. La fleuriste me fis un joli petit bidule autour, j'avoue ne pas savoir ce que c'était, mais ça faisait assez joli, enfin pour une meuff bien sur. J'entra de nouveau dans ma chambre, remarquant directement la jeune fille endormit sur le fauteuil, le livre par terre. Je pris le temps de refermer la porte à clef, et ouvris le tout petit frigo que j'avais, et y déposa les sandwichs. Je posa le bouquet sur celui ci. Je ramassa le livre, le rangea dans le placard. Puis je m'avança du lit, et retira les draps, housses et taies d'oreiller. Je mis tout ça dans le panier à linge sale. Je sortis du fameux placard tout ce dont j'avais besoin pour faire le lit. Et je me mis au boulot. Une fois terminé, le lit était tout propre et bien fait. Je m'adossa contre le mur, et me laissa tomber. Je fini assis par terre, la tête dans les mains.

Léna ne se réveilla pas une seule fois lorsque William entra dans la chambre et fit son ménage. En tous cas, il changea tous les draps comme s’il voulait effacer toute trace possible de Léna avec lui. Il fallait aussi avouer que c’était bien plus hygiénique aussi. Lorsqu’il s’installa contre le mur, Léna se réveillé en sursaut. Elle venait de rêver de la boîte, cette fameuse nuit où elle avait faillit se faire violer. Elle resta un petit instant confuse avant d’apercevoir William contre le mur. Pourquoi se tenait-il la tête ? Elle ne comprenait jamais ce garçon. Regardant le frigo, elle y vit des roses noirs, ses préférés. Se levant de son fauteuil, elle s’installa à côté de William et lui dit :

- Qu’est-ce qui ne va pas ?

La brûlure sur sa jambe se voyait encore et sur son épaule également mais cela partait petit à petit.

Léna se leva, et me demanda se qu'il n'allait pas. Je releva le tête, apercevant ses blessures, je détourna le regard, et le plongea dans celui de la jeune fille qui venait de se réveiller.

- Rien, je t'attendais... Tu vas mieux ?

Je me releva, m'appuyant contre le mur. Je m'approcha d'elle, et l'embrassa sur la joue. J'alla vers le frigo, l'ouvrant, j'en sortis notre repas qui se composait de sandwichs et de sandwichs. Je les étala par terre ( oué, j'ai pas de table, c'est trop petit mdr' mais les sandwichs sont emballés !! ). Lui demandant lesquels elle voulait.
J'attrapa aussi le bouquet de roses noires, et lui tendis. Je n'étais pas vraiment doué pour les beaux discours, il vaut mieux que je me taise complètement.

Léna remarqua que sa blessure dérangeait William mais il fallait le temps de la cicatrisation. L’embrassant sur la joue, Léna posa sa main dessus et se leva également. Elle n’avait pas répondu à William car elle ne savait pas quoi dire la dessus. Elle n’allait pas bien mais ce n’était pas sur ce sujet que la question se posait. Hochant tout de même la tête positivement, Léna s’installa près des sandwichs. Les regardant, elle ferma les yeux et posa la main sur l’un d’eux. Au même moment, elle vit le bouquet devant ses yeux. Il lui avait acheté ces roses pour elle. Il ne disait rien car comme elle le savait, il n’était pas trop bavard. Faisant un petit sourire, Léna le regarda, ne sachant que dire également. Elle savait que de toute manière, tout allait se finir après cette journée.

- Merci pour tous…

Prenant le sandwich en bouche, elle croqua dedans, commençant à manger. Ce n’était pas mauvais et cela changeait des poches de sangs. Malheureusement ce petit tête-à-tête n’allait pas rester ainsi.

- Je sais que je devrais rester là le temps que mes parents se calment mais je ne peux pas… Si jamais je reste, ils vont envoyer non seulement des vampires mais aussi des humains pour me retrouver… Même si je refuse, je vais devoir y aller… J’irais leur dire que je refuse ce mariage et ensuite… Je pense que je serais de retour le lendemain matin dans ma cage… C’est à peu près le temps de la punition… Ne t’en fait pas, j’en ai tellement eut dans ma vie des punitions, rien que le fais de ne pas vouloir être un vampire, j’en avait trois par semaine… Je fini le sandwich et ensuite je devrais y aller…

La parfaite petite menteuse venait de calmer la chose mais c’était totalement faux. En réalité, ce qu’elle allait recevoir n’était pas une punition mais une torture.

Elle me remercia pour le bouquet. Je lui souris. Elle choisi un sandwich, et le mangea. Je la regarda. Elle m'avoua qu'après avoir terminer elle s'en irait. Je baissa la tête, et me passa une main dans les cheveux. Je releva les yeux en direction de la jeune fille.

- Reste... Si tu passe la porte, on ne se revoit plus...

Je voulais la garder pour moi, et je me doutais bien qu'elle n'allait pas se prendre une simple gifle. Mais je ne pouvais pas l'aider, je n'étais qu'un simple humain parmi tant d'autre, et aussi leur repas. Je m leva, et m'allongea comme un sac à patate sur le lit. J'avais peut être des sentiments pour elle, mais si elle partait, j'allais recommencer à aller voir d'autres filles, essayant de l'oublier. J'étendis les bras, et regarda le plafond.

L’ultimatum que lui lança William lui fit du mal. Il voulait qu’elle soit à lui mais lui n’était à elle. Il ne faisait même pas attention à ce qu’il faisait ou alors, peut-être que si. Le regardant s’installer sur le lit, elle baissa la tête, regardant son sandwich. Elle n’avait pas très faim de toute façon et le posant de côté, elle partit le rejoindre. Sans rien lui demander, elle s’allongea à ses côtés, posant une main sur son torse. Sa tête se posa également sur le torse mais touchait légèrement le visage de William. Elle voulait rester avec lui mais il n’arrêtait pas de la prendre et la rejeter. Elle ne voulait pas non plus vivre comme cela, c’était impossible pour lui.

- Je suis désolée… Je ne veux qu’ils te fassent du mal… Mais je ne peux pas non plus rester indéfiniment…Puis, tu as vu ce qui c’est passé tout à l’heure, imagine qu’on le fasse lorsque je dors ou que tu ne sois pas là… Tu veux que je t’appartienne et pourtant, tu es le premier à vouloir ta liberté… Je voudrais toujours être avec toi mais je n’appartiens à personne… J’ai simplement choisi d’être avec toi lorsque tu voudras mais tu n’as pas le même désir…

Se levant du lit, elle resta assise, ne sachant que dire de plus. Elle voulait juste lui faire comprendre qu’il désirait la même chose qu’elle, sauf qu’il trouvait cela bien plus normale pour elle de lui appartenir que lui, de lui appartenir à elle. Se levant réellement du lit, elle attrapa son dernier vêtement, car elle en avait emprunté un à William et se changea devant lui.

Elle s'allongea la tête sur moi. Je ne bougeais pas.

- je sais, je sais...

J'étais bien conscient de se que je lui demandais de faire, et aussi de comment je la traitais. Je la devinais divine ( phrase tiré d'un poème ). Elle se releva, et s'habilla sous mes yeux. Dois - je lui rappeler que je suis un garçon ?! Je la regarda tout de même, a parement pour la dernière fois. Je m'assis, puis me leva. Je me déshabilla. Je resta en caleçon, et alla sous la couverture toute propre. Cette atmosphère sombre me donnais froid...

- Avant que tu ne partes, je voulais te remercier...

Je n'en dit pas plus. Seule ma tête dépassait de la couette. Mes yeux fixaient la silhouette de Léna.

Léna ne voulait pas le quitter, elle voulait rester mais si elle le faisait, William serait en danger. Ce n’est pas qu’elle ne voulait pas, mais elle ne pouvait pas rester. Le regardant se préparer pour se mettre sous la couette, elle le regarda un instant. C’était plus fort qu’elle, elle ne pouvait pas partir sans le faire. De plus, il venait de la remercier, mais elle ne comprenait pas pourquoi. C’était à elle de le remercier, pas le contraire. S’approchant de lui, elle le tourna vers elle, se plaçant à califourchon sur lui. L’embrassant langoureusement, elle lui dit :

- C’est à moi de te remercier… Grâce à toi ma première fois fut magique, malgré la sonnerie… Je ne l’oublierais jamais même si tu t’entête à me considérer comme une fille d’un soir… Je reviendrais, je te le promets, je ne veux pas qu’on te fasse de mal… J’aimerais rester, crois-moi, mais je ne peux pas…

Sortant de sur lui, elle attrapa sa couverture du fauteuil et commença à ouvrir la porte.

Elle se mis sur moi, je n'avais qu'une envie, en profiter. Elle se pencha et m'embrassa langoureusement. La dernière fois que je sentirais sa langue sur la mienne. Nan, c'était à moi de la remercier, elle m'avait offert plusieurs nuits en sa compagnie plus que plaisante... Elle se retira, me promettant de revenir me voir.
A ce moment précis, j'enfouis ma tête sous la couverture telle un gamin de trois ans. J'entendis la porte s'ouvrir puis se refermer. J'étais à présent seul... Je sentis mes paupières se fermer...

Léna venait de partir, elle savait qu’elle n’avait pas le choix. Arrivant dans la demeure de ses parents la conversation battait son plein lorsqu’elle affirma ne pas vouloir de ce mariage. La menaçant, Léna tendit ses mains, exprimant ainsi son refus total. Ce qu’elle ne savait pas fut la torture qu’ils allaient lui affliger. Se dirigeant dans le sous-sol, elle fut attachée par des chaînes de titane. Regardant autour d’elle, ses parents s’approchèrent d’elle en lui disant, « puisque tu te régénère, on va t’infliger une punition qui te marquera à vie ». Lui bandant les yeux, Léna sentit la présence du vampire à qui elle était promise. Les chaînes se séparèrent d’un coup, laissant un espace entre ses jambes. Elle comprenait de quoi parlaient ses parents et malheureusement, elle ne put que fermer volontairement les yeux et serrer fortement ses lèvres pour ne pas crier.

Lorsque se fut fini, ceux en cinq minutes même pas, Léna sentit les chaînes la lâcher. Elle se sentait si sale, c’était horrible la sensation qu’elle avait. Retirant son bandeau, elle vit qu’elle était dans sa propre chambre. Attrapant le plus de vêtements possibles, elle se changea tout d’abord et partit de la demeure. Elle courait le plus loin possible, se couvrant comme elle pouvait. Le soleil se couchait donc elle risquait de moins en moins de chose mais bon. Se dépêchant, elle ouvrit la porte de la chambre de William, la claquant involontairement à son passage. Ses yeux étaient remplis de tristesse et de dégoût. Elle ne savait pas pourquoi elle était partie ici, l’idée qu’il la voit, elle ne se sentait pas bien. S’allongeant le long du mur, elle resta assise sur le sol.

Je venais de me doucher, et avais manger une sandwich. J'alla pour me brosser les dents. Je pris ma brosse, la passa sous l'eau, ouvris le tube de dentifrice à la menthe forte, en mis un petit boudin sur la brosse, la repassa sous l'eau, et la mise dans la bouche. Soudainement, la porte d'entré se claqua. Je pencha le tête, pour voir se qui se passait. Et la je vis avec étonnement Léna, à la limite de pleurer. Je me rinça la bouche pleine de mousse, m'essuya, et m'approcha d'elle. Je m'assis devant elle, posant mes mains sur ses genoux.

- Pourquoi es tu comme ça ?

Je la cherchais du regard, mais elle baissa la tête.

Recroquevillé sur elle-même, elle baissa la tête à l’arriver de William. Elle ne savait pas quoi dire, elle n’arrivait même pas à parler. Ne sachant que faire d’autre, elle sécha ses larmes et regarda William dans les yeux. Soulevant la jupe pour une fois longue, qu’elle avait et montra des marques de bleu sur ses cuisses, ayant la forme de doigts. On l’avait forcé et elle n’arrivait même plus à parler. Tout ce qu’elle put faire était de redescendre sa jupe et de reposer sa tête sur ses genoux, collés à son corps. Elle s’attendait à tous, sauf cette torture là.

- Je ne savais pas… Je ne savais pas qu’ils allaient aller si loin… Je suis désolée… Pardonne-moi, je ne suis pas restée à toi…

Elle était tellement choquée qu’elle balançait la vérité à William. C’est vrai qu’il voulait une histoire d’un soir avec elle mais ce qu’elle venait de dire prouvait qu’elle pensait le contraire. Elle lui appartenait, à lui et personne d'autre.

Elle me regarda enfin dans les yeux... Elle souleva sa jupe, laissant paraître des marques. Elles les les recouvrit avec son bas. Je me mis à côté d'elle. Ce qu'elle me dit après fus encore plus surprenant. Je ne savais pas qu'elle tenait à moi comme ça... Je n'osais pas la toucher de peur qu'elle ne me repousse. Je ne voulais même pas imaginer ce qu'elle à du endurer. Je ne savais pas quoi faire, ni trop quoi dire.

- Comme tu me l'as dit, tu n'es pas à moi... Mais, ils n'avaient pas le droit...

Je ressentais de la haine envers ses parents, du dégout envers le mec qui avait oser la toucher, et de la tristesse envers Léna. Je ne savais pas trop quoi faire. Les rideaux n'avaient pas bouger depuis son départ. Je la regardais... Ne voulant pas la toucher, de peut de la frustrer, je n'osais rien faire.

» La galère continue... [William + autre](terminé)
» Rencontre imprévue... [William](terminé)
» S'amuser... oublier... impossible... [PV: William] (terminé)
» Décidément, la chance ne tourne pas... ? [William](terminé)
» mauvais endroit, mauvais moment... TERMINE