Rencontre imprévue... [William](terminé)

Léna était aller accompagnée dans la boîte ou elle avait d’ailleurs couché avec William. Il y avait une soirée spéciale ce soir et comme la dernière soirée non seulement elle avait couché avec William mais en plus elle avait planté Jazon. Pour se refaire et oublier William, elle était de nouveau sortit avec lui. Accroché à son bras, elle vit au loin William, accompagné d’une demoiselle. Ne voulant plus y aller, Jazon la regarda, la forçant un peu. Elle continua d’avancer. Ce soir là, elle était vêtue d’une jupe noire et un pull-over blanc épousant parfaitement ses formes. Entrant dans la boite, le videur demanda d’écrire leurs noms et de le mettre dans la boîte. Pouvant ainsi danser, une surprise les attendirent. Dansant avec Jazon, elle voyait également William et tournant la tête, Jazon cru qu’elle voulait l’embrasser. Touchant ses lèvres, Léna baissa la tête, les yeux grand ouvert. Continuant de danser avec lui, elle passa sa main sur ses lèvres mais ce dernier resserra l’étreinte entre leurs corps.

La musique c’était alors arrêté et prenant parole, le gérant de la boîte fit une annonce. Les deux couples tirés au sort devront danser sur un slow et à la moitié du slow, échangeront de partenaire. Sachant cela, Léna ne voulu pas être tiré au sort mais malheureusement, le premier nom qui sortit fut celui de Jazon et Léna. Puis, vint le tour du deuxième papier et à la stupéfaction de Léna, se fut à William et sa demoiselle de venir. Regardant William, Jazon la prit dans ses bras, la collant contre lui. Cela se voyait bien qu’elle n’était pas heureuse. Voulant l’embrasser de nouveau, comme pour montrer à William qu’il avait une petite amie, Léna tourna la tête, laissant ses lèvres se poser sur sa joue. Il n’avait rien comprit. Le premier baiser avait été donné par erreur et rien d’autre. Reculant un peu de lui, elle passa ses mains autour de son cou, posant ses bras sur ses épaules. La musique commença et ils dansèrent.

Swad une fille de ma classe en Français ma invité à une soirée spéciale à la boîte. J'accepta avec grand plaisir. Je ne savais pas trop comment m'habiller, alors je mis une chemise, avec mon jean noir de d'habitude. Je vins la chercher, elle était très mignonne. Elle portait un chemisier noir, avec un slim de la même couleur que son haut. Elle est plutôt du style rock comme fille, j'aimais bien... Elle avait un piercing sur la langue à se qui paraissais. Elle me pris par le bras, et une fois devant la boîte, une personne nous demanda d'inscrire notre nom sur une papier. Une fois fait, nous entrâmes. Nous commencions à danser... Elle m'embrassa sur la joue. Je lui souris. Le gérant fit une annonce. Deux couples allaient être tirés au sort, et il devront danser un slow. Au milieu de celui ci, ils devront échanger les partenaires. Moi j'étais venu juste pour le plaisir de Swad. Avec étonnement, Léna et Jazon furent appelés et Swad et moi aussi. Cette dernière mis ses mains derrières ma tête, et je mis les miennes sur ses hanches. Elle posa sa tête sur mon épaule.

Regardant William danser avec cette fille, Léna se laissa faire par Jazon et posant sa tête dans le creux de son cou, elle attendait juste que cela se finisse. Elle avait si mal en voyant William avec une autre, elle ne voulait pas le voir. Pendant la danse, le gérant fit une nouvelle annonce. Ceux qui gagneront auront droit à un chèque de 10 000. Cela pimenta la soirée car c’était le meilleur couple qui gagnerait, ce qui veut dire, le meilleur partenariat. Pas forcément le couple d’origine. Jazon colla davantage Léna contre lui et regardant William, elle passa sa main sur sa joue pour y enlever une larme. Arrivé au moment ou on devait changer, Léna se dirigea vers William sans trop de conviction. Il ne voulait plus la voir et pourtant, c’était louper pour là. Se dont elle ne s’attendait pas fut que la demoiselle qui accompagnait le jeune William, accrocha la cheville de Léna, la faisant trébucher. Se rattrapant à la chemise de William, Léna se releva. Elle avait toujours sa tête baisser. Posant ses mains sur ses épaules, elle resta à bonne distance, pensant qu’il ne voudrait pas la sentir contre lui.

- Désolée… Si j’avais su, je ne serais pas venu… Au moins j’aurais respecté un de tes choix…

Le moment de changer de partenaire était arriver. Je retira mes mains de Swad, et elle en fis de même. Je me fichais complètement des 10 000€. J'avais hérité de tout l'argent de ma famille, alors ce n'est pas ça qui me manquais. Léna déposa ses mains sur mes épaules. Je déposa les miennes sur ses hanches. Je fis passer une de mes main derrière son dos, la rapprochant de moi.

- Désolée… Si j’avais su, je ne serais pas venu… Au moins j’aurais respecté un de tes choix…

Je la regarda.

- Si j'avais sus, je ne serais pas venu non plus. Tu n'as pas à respecter mes choix, tu es libre.

Je continuais à danser avec elle, je m'approcha de son oreille et lui murmura.

- Tu danse divinement bien.

La main de William la rapprocha de lui. Elle ne savait pas quoi faire, après tout, il n’avait pas tord, elle pouvait ne pas respecter ses choix. C’était dur pour elle de rester dans ses bras sans rien faire. Si cela aurait été un vrai slow entre eux, consentant, elle se serait collée à lui, laissant ses mains se poser sur sa nuque et son dos, tout en caressant avec délicatesse sa nuque mais ce n’était pas le cas. Plus la danse continuait et plus l’écart entre eux se réduisait. Le fait de lui murmurer à l’oreille des mots aussi gentil les avait rapproché de nouveau, collant ainsi son corps au sien. Elle se sentait si bien et était tellement mal à l’aise en même temps.

- Merci mais je pense que cela est grâce à toi car je n’arrive pas à me concentrer dans tes bras…

Le regardant dans les yeux elle s’excusa. Baissant la tête, elle se demanda pourquoi elle avait fait cela, enfin, dit cela. Se remettant contre lui, s’en trop se rendre compte, elle passa sa main sur sa nuque, le caressant de son pouce.

- Promis, après cette danse je partirais… Je ne t’embêterais plus jamais…

Nous continuions à danser. Son corps se rapprochait involontairement de plus en plus au miens. Elle se mis à caresser ma nuque. Elle me promit de ne plus jamais m'embêter après ce soir. j'hochai la tête. Puis revenant à son oreille.

- Je te fait confiance... J'espère que tu tiendra ta promesse.

Je déposa mes lèvres sur son coup. La serrant de plus en plus près de moi, je menais toujours la danse. La musique touchait à sa fin.

Les paroles de William lui faisaient tellement mal et pourtant, ses gestes continuaient de faire le contraire. Elle ne voulait pas arrêter la danse, elle ne voulait pas que cela s’arrête et pourtant, il ne voulait plus d’elle. Il semblait l’avoir facilement oublié, elle allait devoir faire de même. Ses lèvres sur son cou la fit resserrer l’étreinte, comme à chaque fois qu’il lui faisait cela les nuits avec elle. Rapprochant par réflexe son visage près du sien par ce geste, elle tourna ensuite la tête, entendant la musique s’arrêter. Elle ne voulait pas sortir de ses bras mais il semblait bien mieux avec cette fille.

- Je ne veux pas savoir qui a gagné… Je vais te laisser maintenant… Tu me manques…

Reculant, elle prit la main de Jazon et partit vers la sortit. Le gérant n’avait pas fait attention car la foule se regroupait pour voter. Les gagnants furent William et Léna mais elle n’avait pas cherché plus loin, elle partait de la boîte. Arrivant à l’extérieure, Jazon lâcha sa main et la regarda. Lui lançant en pleine face qu’elle était amoureuse de William, Léna baissa la tête. Jazon partit en la laissant toute seule et regardant le videur qui la connaissait, elle se plaqua contre le mur. Il lui annonça, « dur soirée », elle ne put que répondre d’un oui. Ils étaient dos à l’entré cette fois-ci donc si jamais quelqu’un sortait, Léna ne verrait pas qui se serait.

- Lorsqu’on est amoureux, cela fait quoi ? Car moi, j’ai mon cœur qui s’emballe en le voyant, ma respiration se fait difficile et j’ai toujours peur de faire un pas de travers… Je veux faire le mieux possible, acceptant tous ses désires et ses caprices… Pourtant, je l’ais laissé partir dans les bras d’une autre… Pourquoi ce William me hante ? Je n’arrive pas à m’en débarrasser, je ne veux pas m’en débarrasser… Il est si contradictoire, il m’éloigne de lui pourtant ses gestes sont tout autre… Je suis le coup d’un soir et après il m’offre des fleurs… S’il ne veut pas d’attache, pourquoi fait-il tous pour que je m’attache ?

Elle se retira, ne voulant pas savoir qui avait gagner. Swad vint me voir. Je l'entraînais dehors. Elle me dit qu'elle ne voulait plus jamais me voir, que si c'était pour partir avec une autre, ça servait à rien d'avoir accepter de l'accompagner. Je lui dit que je m'en foutais, que je faisais se que je voulais. Je me retourna. Passant une main dans mes cheveux. Je m'assis près de la porte d'entrée.
Je lui manquais ? Je poussa un long soupire...

Entendant quelqu’un sortit, le videur jeta un coup d’œil et resta avec Léna. Il continuait de lui dire d’arrêter de se torturer et d’oublier ce type mais elle le contredisait, elle ne voulait pas l’oublier. Il n’arrêtait pas de le rabâcher, il fallait qu’elle passe à autre chose mais elle n’en était pas capable. Alors dans un excès de colère ou de tristesse, elle lui dit :

- Comment veux-tu que j’oublie William il me hante toutes les nuits !

Regardant sur le côté, elle le vit assis sur le côté de la porte. Les yeux grand ouvert, Léna préféra commencer à partir, trop honteuse d’avoir avouer cela à William indirectement. Le videur regarda le jeune William d’un mauvais œil, lui faisant signe de la rejoindre s’il tenait à elle. Mais pour Léna, il allait rester près de la boîte et la laisser partir.

Je réfléchissais au cours de demain.

- Comment veux-tu que j’oublie William il me hante toutes les nuits !

J'écarquilla les yeux. Je vis Léna qui partait. Le videur ma regarda, faisant signe de la rejoindre. Je le regarda à mon tour refusant de doigt. Il me faisait signe qu'il allait me foutre une raclée. Je me leva, et alla la voir d'un pas hésitant. Je l'attrapa par le bras. je lui dit souriant.

- Je te hante toutes les nuits ?

Et la le videur fronça les sourcils. J'enleva directement mon sourire, lui faisant signe de ne pas savoir quoi dire. Je soupira.

- Qu'est ce que tu voudrait réellement ?

Pff quel con, je savais se qu'elle voulait, c'est plutôt à elle de me poser cette question. Mais je ne savais réellement pas se que je voulais moi.

S’arrêtant en sentant sa main la retenir, elle le regarda d’un regard plus que noir. Elle voulait qu’il arrête de lui faire cela, elle en avait marre. De plus, son sourire l’énerva à sa première question. Le videur semblait être entrain de lui faire des signes et comprenant, Léna n’avait qu’une envie partir. C’est alors qu’il posa la question à ne pas dire. Ce qu’elle voulait réellement ? … Il le savait parfaitement, qu’il arrête de se mentir un peu et qu’il brise cette promesse aussi stupide. Mais cela, elle ne pouvait pas lui dire. Ne sachant pas pourquoi, elle lui colla une gifle. Au bord des larmes, elle se retenait de ne pas lui en mettre une autre. Calmement, elle lui dit :

- Je crois que tu devrais te poser à toi-même la question… Alors arrête de faire le gentil devant le videur si c’est uniquement pour me briser après… Tu n’en a rien à faire de moi alors pourquoi continuer de me faire souffrir et de faire tout le contraire de ce que tu dis… J’en ai marre, ce que je veux c’est que tu ouvre les yeux et que tu vois ce que TOI tu veux en réalité… Mais cela ne semble pas être moi… Adieux, comme tu l’avais si bien dis…

Ne partant pas, elle resta devant William pour une fois. Elle attendait de voir ce qu’il allait faire mais elle s’attendait surtout à s’en prendre plein la tête.

Elle me gifla. A ce geste, je la lâcha... Baissant la tête, elle lui fit la morale. Je sentais dans sa voix qu'elle voulait pleurer. Je me posa donc cette question, cette question donc je savais pertinemment la réponse.
Bizarrement, après son " Adieu " elle ne partit pas. N'osant pas relever la tête, honteux de se que j'avais fait, je m'assis par terre.

- Je t'aime...

Je l'avais enfin dit, ce mot qui m'arrachait les lèvres, qui ne faisait pas partit de mon vocabulaire, ce mot qui me donnais tant envie de vomir, ce mot que je haïssait... Je lui avais enfin dit. Le tête toujours baissé, mes cheveux cachaient mon visage.

Restant sur place, elle le vit s’installer sur le sol, lui avouant une chose qu’il n’avait encore jamais fait référence. Des mots tellement forts et puissants que Léna en eut la tête qui tournait. Elle ne savait plus quoi dire, ni quoi faire, elle ne s’attendait pas à une chose aussi incroyable. Tombant à genoux face à William, elle le regarda, ne comprenant plus rien. S’approchant de lui, elle lui releva la tête, le regardant dans les yeux.

- Alors pourquoi avoir fait cela… Pourquoi avoir eu si peur de rester avec moi…

Les larmes coulèrent des joues de Léna, mais des larmes de joie. L’enlaçant, elle ne fit pas attention et tomba sur lui, l’allongeant sur le sol. Se mettant à rire tellement la scène devait être ridicule, Léna resta allongée sur lui, le regardant dans les yeux.

- Moi aussi je t’aime…

Après ces mots, elle l’embrassa tendrement, se relevant après, l’aidant à faire de même. Se blottissant dans ses bras, elle l’enlaça, ne sachant plus trop ou aller.

Elle sauta sur moi, m'écrasant sur le sol. Je rigola avec elle. L'embrassant. Je me releva. Je devais absolument y aller, j'avais des devoirs à finir, et je devais me lever tôt demain matin.

- Je suis désoler, mais je doit y aller. Tu peut venir si tu veut.

Je lui secha ses larmes qui perlaient sur son visage. Je la prise par le bras.

- Je ne te laisse pas le choix.

Le regardant dans les yeux, Léna lui souria. Elle était si heureuse que cela se soit arrangé et dans le bon sens. Il devait y aller car c’était l’heure pour lui, ce dont elle ne s’attendait pas fut son invitation. Elle n’allait pas refuser et lui prenant le bras, Léna rigola à sa dernière phrase. Elle n’avait pas le choix, mais son choix était le sien. Le suivant, elle se dirigea vers l’université avec lui, blottit dans ses bras. Elle avait passé le sien derrière lui, s’accrochant à sa taille et posait son autre main sur celle de William, à son épaule. Elle était si heureuse maintenant.

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