Rencontre charmante...

Baissant la tête, elle sentit la main du jeune homme se déposer délicatement sous son visage pour le relever. Le regardant à nouveau dans les yeux, elle le vit s’approcher et ferma les yeux pour sentir alors ce contacte si chaud et agréable. C’était un simple baiser et pourtant, une sensation étrange venait la parcourir. Son cœur commença à battre avec force, elle ne savait pas pourquoi mais ce geste lui plaisait, ce contacte la transportait. Alors, lorsqu’il sépara ses lèvres des siennes, Léna prit du temps avant d’ouvrir les yeux, l’entendant s’excuser. Mais pourquoi ? Il venait de faire ce qu’elle voulait et elle avait adoré mais peut-être pas lui.

- Tu n’as pas aimé ? … Je ne sais pas embrasser peut-être ?

Elle commença à dire des choses se sentant coupable de son excuse.

Je lui souris. Elle semblait si innocente, je ne voulais en aucun cas profité de la situation, ma ça avait été plus fort que moi.
Ce baiser fut très agréable.

- Nan, pas le moins du monde, mais je ne voudrais pas profiter de la situation...

Je baissa la tête à mon tour. Elle était si fragile, je ne voulais pas faire quelque chose dont elle pourrait regréter plus tard...

Léna ne comprenait plus rien, elle ne comprenait pas pourquoi il avait arrêté. Elle était fragile à ses yeux et pourtant, elle savait réellement ce qu’elle voulait. Ce qui l’amusa fut que c’était à son tour de baisser la tête et la relevant de la même manière que lui, elle passa sa main délicatement sur son visage, éloignant une mèche pour voir ses yeux. Elle ne pouvait se détacher de ce regard et approchant ses lèvres, elle murmura :

- Tu ne profite pas de moi…

Puis ses lèvres vinrent au contacte des siennes, reprenant ce baiser qui c’était arrêté. Elle ne voulait pas qu’il pense cela, loin de là car elle adorait ce geste. De plus, porter par d’autres envies, elle glissa sa langue lentement entre ses lèvres, venant caresser la sienne avec sensualité.

Elle m'embrassa à nouveau. Sa langue touchait la mienne. Je passa ma main derière sa tête, et une autre main sous son tee-shirt. Sa peau était douce. Ma main montait sous son dos nu. Je la plaqua contre le mur, tout en continuant de l'embrasser. Je retira mes mains, et dénoua son haut, le fis glisser doucement. Il tomba part terre. Je continuais de l'embrasser tendrement, passant mes mains dans son dos. Je sentais son coeur battre.

Sa main venait de glisser dans sa chevelure et l’autre passait lentement sous son haut. Des frissons la parcouraient, tendit qu’elle sentit sa main remonter. La plaquant contre le mur, faisant monter son envie, il détacha le haut de son dos-nu pour le faire glisser jusqu’à ses jambes avant de toucher le sol. Elle se retrouva en soutient-gorge et son short couvrant encore son autre sous-vêtement. Son cœur battait comme jamais contre sa poitrine et sa respiration s’accélérait. Les mains de la demoiselle retirèrent le haut du jeune homme, le laissant sur le sol. Jouant la curieuse, elle glissa ses mains sur son torse, faufilant ses doigts dans ses cheveux. La jambe de la demoiselle venait glisser le long de celle de son partenaire. Une chaleur commençait à l’envahir, brûlant ardemment son corps.

Elle m'enleva mon tee - shirt, et me carressait le torse. La chaleur monta en moi. Elle passa délicatement sa jambe entre la mienne. Le rythme de mon coeur accelera. Je l'embrassa dans le coup, puis la lécha dans la même zone. Je dérrapais sur l'avant, en descendant lentement tout en faisant glisser mes mains le long de sa courbe. J'arriva à sous soutient gorge. Je passa mes mains derière son dos, et lui dégraffa. Je lui enleva. Il tomba par terre rejoignant le reste de nos vêtements. Je lui lécha les tétons, puis descendis. J'arrivais à son ventre plat, à son nombril, puis à son short en jeans. J'étais à genoux par terre, lui déboutonna délicatement, baissa la fermeture éclaire, et lui retira. Je remonta à ses lèvres, les embrassa...

Les lèvres du jeune garçon partirent dans son cou pour l’embrasser et passer sa langue. A ce geste, Léna se mordit la lèvre inférieure, désirant tellement aller plus loin. Ses mains revenaient et remontaient le long de son dos, passant sur la courbe faite à l’approchement de son corps contre le sien. Touchant de ses doigts son soutient-gorge, elle sentit le tissu se relâcher, laissant les brettelles glisser le long de ses épaules pour faire terminer sa course au tissu sur le sol. Les lèvres du jeune homme continuèrent à descendre pour y combler sa poitrine, resserrant les doigts fins de la demoiselle dans la chevelure de son partenaire. Elle en profita pour déboutonner le pantalon du jeune homme et ouvrir également la fermeture éclaire. Il continua sa descente, passant sur son ventre avant de se mettre à genou devant elle, déboutonnant et ouvrant la fermeture éclaire de son short. En remontant, Léna fit glisser les derniers tissus qui pouvaient la recouvrir et fit de même avec le jeune homme. L’embrassant à nouveau, se retrouvant tous les deux nus, Léna glissa jambe le long de celle du garçon, sautant légèrement pour passer ses jambes de chaque côté de sa taille. Câlinant sensuellement et torridement la langue de son partenaire, elle stoppa le baiser pour le regarder dans les yeux.

Elle retira son dernier sous vêtement. Et en fit de même avec les miens. Nos corps étaient l'un contre l'autre. Je sentais son souffle sur ma peau. Elle m'embrassa plus toridement, puis retira ses lèvres des miennes. Elle plongea son regard dans le miens. Cette fille me faisait complètement perdre tous mes moyens. Quand je la regardait, un désir m'envahissait. Je ne détacha pas mon regard du sien.

Léna ne savait plus quoi faire d’autre, tout ce qu’elle savait maintenant c’était qu’elle désirait aller encore plus loin s’il le voulait lui aussi. Il ne profitait pas d’elle, loin de là, il comblait exactement ses désirs. Elle ne savait pas que ce moment allait se passer avec un humain mais cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Elle se sentait bien dans ses bras, tout contre lui et fermant de nouveau les yeux, elle l’embrassa avec une douceur folle. Ce n’étai pas le style de baiser qui voulait simplement dire, « je veux coucher avec toi », mais plus ce baiser qui signifie, « je t’apprécie réellement et je ne veux pas qu’une seule nuit à tes côtés ». Léna était bien décidée à continuer mais c’était à lui de choisir maintenant, elle avait tous fait pour lui prouver qu’il pouvait faire ce qu’il voulait.

Léna m'embrassa avec amour, on peut le dire... Je la prise dans mes bras, la fit basculer, et la porta comme une princesse. Nous nous dirigeâmes entre la cage et le matelas hors de celle - ci. Puis, après réfléxion, je la dépposa sur celui qui ne se trouvait pas dans cette prison. Soyons un peu plus romentiques. Je lui souris, me mis sur elle, et l'embrassa comme elle m'avait embrassé... Je fis glisser mes mains sur son corps allongé, et commença à la pénétrer avec la plus grande douceur. Je faisais de léger va et vient, tout en l'embrassant dans le coup.

Continuant de l’embrasser, Léna sentit les mains du jeune homme glisser sous son corps pour la porter telle une princesse. Elle le regarda dans les yeux, lui souriant, se sentant se déplacer vers le matelas. Son cœur battait de plus en plus fort, elle connaissait la suite et pourtant, une légère peur venait l’envahir. C’était si étrange, elle voulait le faire mais une peur de mal faire était là. Mais se laissant guider, le matelas se fit sentir sous elle, tout comme le corps du jeune homme qui s’allongeait sur le sien. Elle prolongea le baiser qu’il lui offrait, sentant ses cuisses se séparer de plus en plus. Ses mains parcoururent son corps qui frissonnait sous ses caresses et lorsqu’il commença à lui offrir un plaisir qui lui était inconnu, un léger souffle chaud se fit entendre. Les lèvres de son partenaire partirent dans le cou de cette dernière, laissant les siennes qui laisser échapper de léger bruit de plaisir. Ses mains venaient parcourir le dos du jeune homme, glissant ses ongles sur sa peau.

Ses mains agrippant mon dos, mes lèvres descendirent sur sa poitrine, tandis que mes vas et viens se stoppaient lentement. Je me retirai, mes lèvres descendirent vers son ventre. Ma bouche se posa sur son sexe, et je caressais du bout de la langue son bouton d'amour, puis la pénétrai lentement, faisant tourner ma langue.

Ses lèvres descendirent le long de sa poitrine tendit que les vas et vient s’arrêtèrent. Le regardant dans les yeux, elle sentit alors ses lèvres descendrent d’avantage. Sa tête s’approchait de plus en plus de son intimité et agrippant le matelas de ses mains, elle ressentit l’une des sensations les plus agréables qu’il puisse exister. La langue du jeune homme venait la crisper de plaisir, courbant son corps sous la douceur de ce moment. Tous ses sens étaient en éveilles, son odorat, l’ouïe, le goût et même sa vue et surtout le touché. Elle ne pouvait que sentir cette chaleur qui les enveloppait, entendre ses gémissements sous ce désir, imaginer le goût qui se dégageait de sa salive, voir plus d’un ciel et surtout, le sentir la combler comme jamais avec sa langue. C’était d’un plaisir exquis.

Je continuais de jouer avec ma langue sur son clitos, me retenant avec mes mains sur les extrémités de ses hanches. Chacun de ses gémissement me donnais des frissons. Je remonta lentement jusqu'à sa bouche, l'embrassa à nouveau. Je me pencha d'avantage pour reprendre mes vas et vient. Cette fois ci, ils étaient plus pronfonds et plus lents. Je sentais son souffle, sa réspiration. Ses bruits me stimulais. Le fait que je lui fasse plaisir, me faisais plaisir.

Le sentant remonter, Léna le regarda avec des frissons dans le corps. Elle désirait tellement qu’il reste tout le temps, c’était une sensation qui lui était inconnu d’ailleurs. L’embrasant à nouveau, sentant ses jambes s’ouvrirent à son ascension, elle resserra son étreinte, à la limite de la griffure. Son souffle chaud venait se mêler à leur baiser mais c’était si bon. Elle ne pouvait retenir ses gémissements, se laissant aller dans son plaisir. C’était si agréable, elle pouvait sentir le parcours que prenait son membre à l’intérieur de son intimité, faisant décoller le seuil de plaisir qu’elle connaissait. C’était un moment si intense entre eux, elle risquait dans redemander encore d’avantage.

Je continuais mes nombreux mouvements... Je sentais au plus profond de moi qu'elle aimait ça.
Quelques munites passèrent pour ne pas dire des heures d'intense plaisir. Puis soudainement, mon portable sonna. Je laissa sonner... Nous continuâmes un certain temps, puis mon portable resonna... Je la regarda de nouveau dans les yeux, l'embrassant passionément, et me retira avec délicatesse. C'était mon réveille... Merde !! On avait passer toute la nuit à faire des galipettes ?

- Je suis désoler, mais je doit aller au bahu...

Je commença à m'habiller.

Léna était totalement aux anges, elle ne savait pas que cela était possible de sentir une pareille émotion l’envahir totalement et pourtant, la sonnerie de son portable venait gêner la chose. N’étant plus concentré, Ayubi voulu repartir tranquillement avec l’aide de son partenaire mais le portable re-sonna. Le regardant, Léna comprit qu’il devait y aller et l’embrassant le plus longtemps possible, elle le laissa aller voir. Se relevant, elle attrapa ses vêtements, tendant ceux du jeune homme. Il devait y aller.

- Je te laisse y aller tout seul… j’irais peut-être à la bibliothèque tout à l’heure mais ce n’est vraiment pas sur. A bientôt si je te revois…

Lui donnant ses vêtements, elle s’habilla également, attrapant une autre tenue. Cette fois-ci, elle avait une jupe noire, lui arrivant à moitié des cuisses et un pull-over blanc, collant son corps. Détachant ses cheveux, elle prit deux mèches et les envoyèrent en arrière pour les attacher. S’approchant de lui, elle l’embrassa avant de le laisser partir.

Elle me tendis mes vêtements. Je les pris, et les enfila. Caleçon, pantalon, chaussettes, chemise. Le tout y était. Je pris le temps de regarder Léna qui en fit de même mais en changeant sa tenue. Une fois qu'elle s'attacha quelques mèches de cheveux, je m'approcha d'elle, lui caressa le visage puis l'embrassa.

- Si tu me revois ? Je n'y manquerais pas...

Je lui souris, pris mon sac, et m'en alla.

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